Boursorama Banque : Immobilier : une nouvelle façon d’éviter le prêt relais

boursorama-banqueUn propriétaire sur quatre achetant un nouveau bien recourt au prêt relais, formule peu appréciée des banques.

Alors pour aider ces emprunteurs, le courtier en crédits immobiliers, Credixia, propose une alternative : le prêt achat/vente.

Quand il s’agit de financer un nouveau bien immobilier alors que l’ancien n’est pas encore vendu, certains propriétaires optent pour le crédit relais.

Seul souci : les banques deviennent de plus en plus réticentes face à cette formule. Elles révisent à la baisse l’évaluation des biens, et face à une évolution du marché résidentiel qui les inquiète, elles réduisent le montant du crédit relais accordé par rapport au montant d’expertise. Du coup, les emprunteurs ne peuvent plus investir à nouveau.

Pour sécuriser cette opération, le courtier en crédits immobiliers Credixia propose une autre solution : le prêt Achat Revente. Ce dernier englobe l’ensemble du projet. C’est-à-dire de la reprise de l’ancien prêt au financement du nouveau bien. Soit 100% du montant de l’achat, la commission d’agence et éventuellement les frais de notaire.

Il faudra tout de même avoir revendu le bien dans les deux ans aux meilleures conditions possibles. Une fois la cession réalisée, il est possible de garder jusqu’à 20% du montant de la vente, ou de réinjecter la totalité de la vente dans son prêt, pour en diminuer la durée ou la mensualité.

LaVieImmo.com : Credixia devient membre de l’Afib

lavieimmoLe courtier en crédits immobiliers Credixia a rejoint l’Association française des intermédiaires bancaires (Afib).

Dirigée par Joël Boumendil, président-fondateur du réseau de courtiers en crédit immobilier ACE, l’Afib est un syndicat professionnel destiné à encadrer et réglementer le métier d’intermédiaire en opérations de banque.

L’Afibl représente aujourd’hui près de deux-cents professionnels du secteur et se décompose en trois sections : le
courtage en crédit immobilier, le financement professionnel et la consolidation de crédits.

CREDIXIA propose une solution Achat/Revente pour éviter le prêt relais

Logo_credixiaAujourd’hui, 40% des acquéreurs mènent simultanément une opération d’achat et de revente, et dans 25 % des cas, ils ont recours à un prêt relais. Or, certains établissements n’acceptent plus les dossiers avec prêt relais ou incitent les personnes concernées à vendre avant d’acheter un nouveau bien, ceci afin d’éviter les dérives du prêt relais. CREDIXIA propose une solution optimisée grâce au prêt Achat/Revente pour aider les emprunteurs à acquérir un bien lorsqu’ils sont déjà propriétaires.

Pouvoir acheter sans avoir vendu ?

Les banques se montrent très prudentes pour accorder un crédit relais permettant à un particulier de financer un nouvel achat avant d’avoir vendu son bien. Elles ont tendance à réviser à la baisse l’évaluation des biens. Leurs inquiétudes quant à l’évolution du marché résidentiel les poussent à réduire le montant du crédit relais accordé par rapport au montant d’expertise ce qui empêche souvent les emprunteurs d’investir à nouveau (les banques prennent, en générale, 70% de la valeur du bien en vente).

Solution CREDIXIA : le prêt Achat-Revente

Pour simplifier et sécuriser cette opération, CREDIXIA propose aux clients une autre solution : le crédit Achat Revente. Un crédit unique qui englobe l’ensemble du projet : reprise de l’ancien prêt et financement du nouveau bien (100% du montant de l’acquisition, commission d’agence et, éventuellement, frais de notaires, compris). Le client a 2 ans pour vendre son bien dans les meilleures conditions possibles. Une fois la vente faite le client a la possibilité de garder jusqu’à 20% du montant de la vente ou réinjecter la totalité de la vente dans son prêt ce qui lui permet soit de diminuer la durée, soit la mensualité.

Avantage de l’Achat-Revente

Grâce au prêt achat-revente le client bénéficie du taux de prêt immobilier classique, qui peut-être inférieur au taux du prêt relais sec, ce qui permet un gain sur le cout total des intérêts.
Lors du remboursement anticipé, l’emprunteur est totalement exonéré de pénalités quelque soit le montant d’apport injecté. De plus, en fusionnant deux prêts en un seul, le client paie une seule fois les frais de garantie lié au prêt.

BOURSORAMA : Un dossier bien ficelé pour demander son prêt immobilier

logo-boursoramaSi le marché immobilier reste attentiste, celui du crédit, lui, est dynamique. Les banques continuent d’accorder des prêts, et à des taux favorables. Reste qu’avant de présenter son dossier, il faut bien le préparer. Le courtier Credixia délivre ses conseils.

Les taux des emprunts immobiliers demeurent très attractifs. Mais même si certaines banques sont en quête de nouveaux clients, elles ne distribuent pas non plus les prêts comme des petits pains.

Alors, règle d’or : avant toute demande de prêt, il faut préparer avec minutie son dossier, comme le rappelle le courtier Crédixia. Objectif : inspirer confiance à l’établissement bancaire.

Tout d’abord, il faut mettre en avant ses fonds propres, car financer plus de 20% du montant de l’achat demeure un élément essentiel de négociation pour faire baisser le taux d’un prêt immobilier.

Ensuite, il faut anticiper au moins trois mois à l’avance sa demande d’emprunt en nettoyant ses comptes bancaires. Car ces derniers vont être épluchés. Il faut par conséquent, solder tout crédit à la consommation, et éviter durant cette période tout épisode de découvert, même le plus minime.

En outre, si points forts il y a, ils doivent être mis en avant. Par exemple, les petits revenus ou rentrées financées irrégulières peuvent être contrebalancés. Jeune âge, fort potentiel professionnel, stabilité de revenus complémentaires, ancienneté chez l’employeur ou baisse programmée des charges fixes sont autant d’atouts à même de rééquilibrer la balance.

Enfin, mettre régulièrement une somme conséquente de côté rassure les banques. Elles préfèrent les petits revenus justifiant d’une réelle capacité à épargner qu’un client aisé qui ne pense pas à économiser.

CREDIXIA devient membre de l’AFIB

Logo_credixiaDepuis janvier 2012, un décret d’application définit le statut d’intermédiaire en opérations de banque (IOB) et précise son champ d’application. Désormais, seuls pourront se prévaloir de la catégorie de « courtier » les intermédiaires qui travaillent sous mandat du client, qui agissent en vertu d’un mandat délivré par un ou plusieurs établissements de crédit et déclarés auprès de l’Organisme pour le registre des intermédiaires en assurance (ORIAS). En l’absence d’enregistrement, des sanctions pourront être prononcées à l’encontre de l’IOB.

Les consommateurs peuvent interroger l’ORIAS afin de déterminer si leur interlocuteur IOB est bien inscrit sur ce registre. Si ce n’est pas le cas, l’IOB n’a tout simplement pas le droit d’exercer. Le texte soumet également les IOB à des obligations de capacité professionnelle, d’assurance de responsabilité professionnelle ou de garantie financière ainsi qu’à des règles de bonne conduite.
Le décret introduit également la création d’associations professionnelles pour représenter les intérêts d’une ou plusieurs catégories de personnes relevant de la compétence de l’Autorité de contrôle prudentielle et pour élaborer un code de conduite destiné à préciser les règles applicables à ses adhérents. Ces associations seront soumises au contrôle de l’Autorité de contrôle prudentiel.

CREDIXIA est répertorié au fichier national des démarcheurs bancaires et financiers, a une assurance de responsabilité professionnelle et est membre de l’AFIB (Association Française des Intermédiaires Bancaires). L’AFIB a pour objet principal de représenter et défendre les intérêts de la profession d’Intermédiaire en Opérations de Banque.

En tant que membre de l’AFIB, CREDIXIA s’engage à en respecter le code éthique. CREDIXIA s’inscrit dans une démarche de transparence et de professionnalisme pour une protection renforcée des emprunteurs et une sécurité optimale des partenariats bancaires. L’enseigne poursuit son ascension et affiche des objectifs ambitieux à l’horizon 2013.

Trouver-un-logement.com : Assurance emprunteur : comment faire baisser la facture ?

logo-tuln-2011-bigLa loi Lagarde de 2010 a ouvert à la concurrence l’assurance emprunteur dans le cadre d’un crédit immobilier. De quoi réaliser d’importantes économies sur le coût de son emprunt en passant par un courtier spécialisé. Explications.

Avec l’ouverture à la concurrence du marché des assurances des crédits bancaires depuis 2010 et la loi Lagarde, le courtier en crédit immobilier, Credixia a repéré de fortes disparités tarifaires selon les délégations d’assurances de prêts immobiliers.

En effet, le choix de l’assurance emprunteur est un élément clé à négocier lors de la mise en place d’un prêt immobilier. En choisissant une délégation d’assurance, qui est en moyenne 40 % moins chère qu’une assurance groupe proposée par la banque, l’emprunteur peut réaliser d’importantes économies sur le coût global de son emprunt immobilier.

Cependant, le choix entre les différents contrats individuels n’est pas aisé. Credixia constate par exemple une forte disparité entre les délégations d’assurances proposées par les compagnies d’assurances : il est possible de réaliser jusqu’à 43 % d’économie d’une délégation à une autre en fonction du choix de l’assureur, selon le courtier.

Chaque compagnie d’assurance applique un taux préférentiel selon la profession, la tranche d’âge et le montant du prêt qu’elle souhaite capter d’où l’importance de faire appel à un courtier, qui réalise une étude comparative à chaque demande de prêt et sélectionne le contrat le plus adapté au profil de l’emprunteur, au meilleur coût tarifaire et à garanties au minimum égales à celles prévues dans le contrat groupe de la banque émettrice de l’offre de prêt.

La dernière étude comparative réalisée par Credixia en septembre 2012 auprès de ses compagnies d’assurances partenaires révèle d’importantes différences de coûts tarifaires, à garanties identiques, entre les délégations d’assurances.

Illustration d’économies réalisées selon l’assurance emprunteur

A titre d’exemple : un homme âgé de 40 ans qui emprunte 100 000 € sur 15 ans  pour l’achat d’une résidence principale et qui doit souscrire une garantie Décès / Perte Totale et Irréversible d’Autonomie / Incapacité Temporaire et Totale dès le 91 ème jour et Invalidité Permanente Totale obtient des conditions tarifaires différentes en fonction des compagnies interrogées :
La délégation d’assurance la moins chère, à garanties identiques, ressort à un taux de 0,166 % du capital restant dû ce qui représente un coût total d’assurance d’un montant de 2 490 €. Tandis que le taux moyen de la délégation d’assurance la plus chère ressort à 0,29 % ce qui représente un coût total d’assurance de 4 350 €. Dans cet exemple, l’économie est de 1 860 € sur le coût total de l’assurance soit 43 % d’économie.