MySweet’immo : Crédit immobilier : Que se passe t-il en cas de décès ?

Vous vous demandez qui paye le crédit immobilier en cas de décès ? Le courtier en crédits Crédixia apporte des éléments de réponse.Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place d’un crédit immobilier. Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes. Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en respectant les conditions liées au contrat. En effet,certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au créancier. Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

• si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance

• l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)

• l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils acceptent la succession. Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront donc à eux tels que :

• accepter la succession et prendre en charge les dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.accepter la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la suite.

• renoncer à la succession, ce qui entrainera une non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus tenus de rembourser les dettes. Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la couverture entre les emprunteurs.Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux personnes titulaires du prêt.Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête : on parle alors d’une « couverture à 200 % ». Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du paiement de toute échéance à venir. Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

Lire la version PDF

Fiscal Online : Qui paye le crédit immobilier en cas de décès ?

Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les
établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la
souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place
d’un crédit immobilier.

Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes.
Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le
capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur
le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en
respectant les conditions liées au contrat.

En effet, certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et
ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au
créancier.

Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

  • si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance
  • l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)
  • l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un
professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les
options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté
d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens
immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit
immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera
bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils
acceptent la succession.

Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne
soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se
retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes
par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront
toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront
donc à eux tels que :

  • accepter la succession et prendre en charge les
    dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun
    devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.
  • accepter
    la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront
    pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes
    que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la
    suite.
  • renoncer à la succession, ce qui entrainera une
    non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus
    tenus de rembourser les dettes.

Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement
d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les
proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en
difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la
détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la
couverture entre les emprunteurs.

Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la
quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête
afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque
qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En
effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux
personnes titulaires du prêt.

Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des
co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête :
on parle alors d’une « couverture à 200 % ».

Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par
l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du
paiement de toute échéance à venir.

Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

Lire l’article sur Fiscalonline.com

Qui paye le crédit immobilier en cas de décès ?

Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place d’un crédit immobilier. Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes. Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en respectant les conditions liées au contrat. En effet, certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au créancier. Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

  • si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance
  • l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)
  • l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils acceptent la succession.

Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront donc à eux tels que :

• accepter la succession et prendre en charge les dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.

• accepter la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la suite.

• renoncer à la succession, ce qui entrainera une non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus tenus de rembourser les dettes.

Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la couverture entre les emprunteurs.

Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux personnes titulaires du prêt.

Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête : on parle alors d’une « couverture à 200 % ». Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du paiement de toute échéance à venir. Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

Exemple de cas

Lire la version PDF

Qu’est-ce qu’un primo-accédant ?

Le primo-accédant est une notion qui renvoie à la première accession à la propriété. Cette définition est cependant plus large que cela.

primo accedant

Qu’est-ce qu’un primo-accédant ?

Définition et spécificités d’un primo-accédant

Une personne, ou un couple est considéré comme étant primo-accedant s’il n’a pas été propriétaire d’une résidence principale durant les deux dernières années précédentes, cette mesure conditionnera alors l’achat d’un logement par primo-accession. Il est obligatoire pour un ménage que les deux conjoints respectent cette mesure pour acheter un logement neuf ou ancien.

Quelles sont les conditions pour devenir primo-accédant ?

La résidence principale permet la primo-accession. En effet, si vous possédez des maisons dites secondaires ou que vous réalisez des investissements locatifs, vous pouvez aussi être considéré comme primo-accédant d’une résidence principale.

Si vous êtes un ancien propriétaire, vous rentrez dans cette catégorie si vous êtes devenu locataire de votre résidence principale depuis plus de 24 mois.

bouton simulateur credit immobilier

Quels sont les aides financières pour les primo-accédants et leurs avantages fiscaux ?

Pour aider les primo-accédants à devenir propriétaire et développer leur capacité d’emprunt, le gouvernement a mis en place certaines mesures spécifiques pour financer un projet immobilier, de plus, ces mesures présentent des avantages fiscaux :

Le prêt à taux zéro

Le PTZ est un dispositif qui permet à un emprunteur d’obtenir un prêt sans aucun intérêt, il est prévu pour financer la primo-accession à une propriété. L’emprunteur sera exonéré de tout intérêts.

Le Prêt à Taux Zéro s’obtient par le biais d’établissements de prêts en accord avec l’État. L’établissement peut refuser d’accorder un crédit si il estime que le risque d’insolvabilité est beaucoup trop important et le remboursement ne pourra pas se faire.

Ce prêt conventionné est accordé aux personnes physiques qui souhaitent faire d’une résidence principale leur propriété. Les primo-accédants sont tout logiquement visés par cette mesure, puisqu’ils n’ont pas été propriétaires d’une résidence principale depuis deux ans après l’offre de prêt.

Le PTZ s’obtient avec des conditions de ressources, elles ne doivent pas dépasser un certain plafond qui dépendront de charges de famille et du lieu de résidence. Comme dit précédemment, le logement doit devenir la résidence principale dans un délai de un an après l’achat du logement ou la fin des travaux.

Le montant du PTZ est un pourcentage du coût de l’opération qui, en fonction du nombre de personnes qui occuperont le logement, la zone géographique, du coût global, s’il est neuf ou ancien, de la performance énergétique du logement, varie énormément. En fonction des revenus de l’emprunteur, le remboursement du PTZ peut s’étaler sur une période allant de 12 à 25 ans.

Le Prêt d’Accession Sociale

Le Prêt à l’Accession Sociale a pour objectif de faciliter et favoriser l’accès à la propriété. Cependant, le PAS est réservé aux ménages qui ont des revenus ne dépassant pas certains plafonds de ressources. Il est accordé, comme le PTZ, par un établissement financier en accord avec l’État. Ce type de prêt aidé doit servir à la construction ou à financer l’acquisition d’une résidence principale.

Remboursable avec des intérêts, il peut financer l’intégralité du coût global d’une opération, aucun apport personnel n’est demandé. La durée de remboursement est plus flexible que celui du PTZ+, elle s’étale dans ce cas sur une période de 5 à 35 ans.

Le taux de crédit varie en fonction du choix des banques et de la durée du prêt, des taux maximum sont cependant fixés.

Le Prêt Conventionné

Le Prêt Conventionné permet de financer l’acquisition d’un bien neuf ou ancien, ou de construire une maison individuelle ; dans le cas où le bien est utilisé en tant que résidence principale. Il est octroyé sans conditions de ressources.

Équivalent au prêt d’Accesssion Sociale, il autorise la souscription à l’Aide Personnalisée Logement (APL) versée par la CAF.

Le plan épargne logement

Le plan epargne logement (PEL) est un dispositif qui a été créer pour soutenir les personnes souhaitant épargner afin d’investir la somme mise de coté dans une résidence principale.

Les prêts complémentaires

Le prêt « Action Logement »

Une entreprise disposant d’un minimum de 20 salariés doit investir dans la construction de bien immobilier. Une contribution est calculée et versée sur le montant des salaires à un organisme collecteur ou directement investie par l’entreprise. Au sein de l’entreprise, les salariés peuvent obtenir un crédit par l’employeur par le biais de l’employeur ou par le biais d’un investissement direct.

Le prêt doit financer le salarié sur la construction ou l’achat d’une résidence principale et respecter des conditions de performances énergétiques. Le montant du prêt ne financera pas la totalité de l’opération, le montant est fixé à un maximum de 30% du montant total de l’opération et la durée de ce prêt est de maximum 20 ans.

Le prêt « action logement » a l’avantage d’être considéré comme un apport personnel par les banques et peut marquer une substitution pour certaines banques qui exigent un apport financier.

Prêt des collectivités territoriales

Des prêts immobiliers ou des subventions peuvent être accordés par des communes, régions et départements aux personnes qui résident sur le territoire, réservés aux familles avec des ressources faibles qui souhaitent accéder à la propriété d’une résidence principale. Pour savoir si vous pouvez en bénéficier, vous devez vous renseigner auprès de la mairie.

Quels sont les autres avantages du statut de primo-accédant ?

En dehors des avantages liés aux prêts, les primo-accédants peuvent bénéficier d’une réduction de TVA sur leur investissement immobilier.

Généralement fixée à 20%, le taux de TVA peut être réduit à 5,5%.

Néanmoins, cette réduction de TVA est réservée aux investissements immobiliers d’Accession en zones dites ANRU (Agence Nationale de la Rénovation Urbaine). L’ANRU conseille et finance les collectivités territoriales dans des Projets de Rénovations Urbaines (PRU). Elle soutient les quartiers faisant l’objet de rénovations visant à améliorer la mixité sociale et les conditions de vie des habitants.

primo-accedant

Posez-vous les bonnes questions ?

Faire un achat immobilier ne se fait pas sans se poser les bonnes questions au préalable :

Avez-vous les moyens d’acheter un bien immobilier ?

Sur le marché immobilier, il y à une diversité d’offres et de prix qui permettent aux emprunteurs de trouver un bien immobilier qui correspondent à leur budget, mais pas le bien dont ils auraient envie. Un ménage qui ne dispose pas de moyens pour acheter plus qu’un petit appartement devra sans doute rester dans une maison en location le temps d’en avoir les capacités.

Un prêt immobilier sans apport lorsque l’on est primo-accédant, est-ce possible ?

Un prêt immobilier sans apport personnel est possible, cependant, cela est possible seulement si une organisme prêteur juge que votre profil est éligible à cette demande de prêt.

Le bon profil d’un emprunteur est déterminé par une banque en fonction de sa situation professionnelle et financière, elle doit être crédible pour obtenir un prêt sans apport.

Le statut de primo-accedant doit présenter une stabilité présente dans ses revenus mensuels et il doit être en CDI.

De quoi avez-vous réellement besoin ?

Il faut se projeter sur le long terme et faire votre propre analyse de besoin : prévoir une chambre en plus si vous comptez avoir un enfant, acquérir un type de logement si vous souhaitez travailler depuis chez vous…

Avoir un bon dossier reste très important

Si vous remplissez les critères et souhaitez financer votre premier achat, vous pourrez obtenir un bon taux de crédit immobilier sous conditions de présenter les pièces justificatives suivantes :

  • Pièces d’identité
  • Contrat de travail
  • Bulletins de salaires
  • Avis d’impositions sur le revenu
  • Relevés de compte
  • Échéanciers des crédits en cours

Ces documents permettront à la banque de mieux analyser la situation financière de l’emprunteur, son profil, son sérieux et sa motivation. Un apport personnel est apprécié par les banques, même si sans, il est toujours possible d’obtenir un prêt en fonction de certaines conditions.

Vous pouvez passer par CREDIXIA, courtier en crédit immobilier et assurance de prêt pour éviter de déposer des dossiers dans plusieurs banques. Notre rôle est de démarcher les banques à votre place, et vous faire bénéficier de conditions intéressantes de prêt. Vous n’avez pas à nous rémunérer, nos frais de dossiers sont totalement gratuits.

L’assurance emprunteur pour le premier achat immobilier

Il n’y a pas d’assurance d’emprunt immobilier spécifique si c’est la première fois que vous achetez une maison ou un appartement. Cependant les compagnies d’assurances accordent souvent un taux d’intérêt plus bas pour l’assurance de prêt immobilier car elles estiment que vous avez moins de risques de tomber malade. Cela a donc un impact sur le coût total de votre prêt bancaire.

Pour récapituler :

❓ Quelle est la définition de « primo accedant » ?

Un primo-accédant est une personne qui n’a pas été propriétaire de sa résidence principale pendant les deux dernières années.

❓ Quels sont les conditions pour être primo-accédant ?

Pour être considéré comme tel par les banques, un emprunteur ne doit pas être propriétaire depuis plus de 2 ans.

Point franchises : Credixia inaugure sa première franchise à Sartrouville

Crédixia, le réseau spécialiste du crédit immobilier à 0 euros de frais de dossier, débute son développement en franchise et ouvre sa toute première implantation en franchise à Sartrouville, dans les Yvelines.

L’enseigne mise sur une nouvelle dynamique de développement afin de renforcer les liens avec les clients. Le réseau fait partie des principaux acteurs du marché du courtage avec son offre « tout gratuit » et ses valeurs qui se basent sur la qualité de service, la transparence, l’éthique et le respect des partenaires.

« Sartrouville dispose aussi d’une très bonne implantation géographique par rapport à notre secteur qui couvre la ligne de RER A de Houilles Carrières/ seine à Poissy. Notre agence est à 2 mn à pied de la gare, ce qui facilite l’accès pour nos clients qui travailleraient sur Paris et auraient juste à faire une pause sur le chemin du retour après leur travail pour nous rencontrer », confie le Directeur de l’agence Cyril GOURINCHAS.

Découvrir la version PDF

Toute la franchise : « CREDIXIA propose un concept différenciant avec le 0€ de frais de courtage »

Carmen Kuntz et Cyril Gourinchas viennent d’ouvrir une agence de courtage en prêt immobilier à Sartrouville. Pour mener à bien ce projet, ils ont choisi de devenir franchisés de l’enseigne CREDIXIA qui s’est récemment lancée en franchise après 20 ans de développement en propre. Premiers franchisés CREDIXIA, ils témoignent de leur intégration au réseau. 

Toute la Franchise : Pouvez-vous vous présenter et nous présenter votre parcours ?

Franchise Credixia

Cyril Gourinchas : Nous sommes Carmen Kuntz et Cyril Gourinchas, tous deux dirigeants associés de l’agence franchisée CREDIXIA de Sartrouville. Carmen est issue du milieu de la comptabilité et de la gestion en entreprise et a occupé de nombreux postes dans des secteurs divers et variés d’activité en tant que comptable puis responsable comptable. 

De mon côté, je bénéficie d’une expérience multiple dans le monde bancaire ou en relation avec l’immobilier, ayant occupé le poste de conseiller financier en agence bancaire, d’animateur commercial en financement puis de contrôleur et analyste de risques pour la direction de réseau bancaire. J’ai complété ce parcours par quelques années en tant qu’expert en évaluation immobilière sur le secteur des Yvelines.  

Ainsi, en croisant nos carrières professionnelles, nous nous sommes aperçus que le métier de courtier immobilier était en adéquation avec nos expériences.

TLF : Pourquoi ouvrir une franchise CREDIXIA ?

CG : Si le choix d’une franchise tient au concept, aux services proposés, entreprendre en franchise n’en demeure pas moins une aventure humaine. 

CREDIXIA nous a proposé un concept différenciant de la concurrence avec le 0€ de frais de courtage aux particuliers qui, pour nous, correspondait à la tendance du marché à venir. Même si nous sommes les premiers franchisés, il n’en demeure pas moins que la société existe depuis 20 ans et est bien implantée sur ce marché.

Comme je le disais également, la franchise est une histoire humaine et nous nous sommes reconnus dans l’esprit de cette société indépendante, un esprit de grand groupe mais avec une vraie histoire familiale.

Lire la version PDF