Trouver-un-logement.com : Assurance emprunteur : comment faire baisser la facture ?

logo-tuln-2011-bigLa loi Lagarde de 2010 a ouvert à la concurrence l’assurance emprunteur dans le cadre d’un crédit immobilier. De quoi réaliser d’importantes économies sur le coût de son emprunt en passant par un courtier spécialisé. Explications.

Avec l’ouverture à la concurrence du marché des assurances des crédits bancaires depuis 2010 et la loi Lagarde, le courtier en crédit immobilier, Credixia a repéré de fortes disparités tarifaires selon les délégations d’assurances de prêts immobiliers.

En effet, le choix de l’assurance emprunteur est un élément clé à négocier lors de la mise en place d’un prêt immobilier. En choisissant une délégation d’assurance, qui est en moyenne 40 % moins chère qu’une assurance groupe proposée par la banque, l’emprunteur peut réaliser d’importantes économies sur le coût global de son emprunt immobilier.

Cependant, le choix entre les différents contrats individuels n’est pas aisé. Credixia constate par exemple une forte disparité entre les délégations d’assurances proposées par les compagnies d’assurances : il est possible de réaliser jusqu’à 43 % d’économie d’une délégation à une autre en fonction du choix de l’assureur, selon le courtier.

Chaque compagnie d’assurance applique un taux préférentiel selon la profession, la tranche d’âge et le montant du prêt qu’elle souhaite capter d’où l’importance de faire appel à un courtier, qui réalise une étude comparative à chaque demande de prêt et sélectionne le contrat le plus adapté au profil de l’emprunteur, au meilleur coût tarifaire et à garanties au minimum égales à celles prévues dans le contrat groupe de la banque émettrice de l’offre de prêt.

La dernière étude comparative réalisée par Credixia en septembre 2012 auprès de ses compagnies d’assurances partenaires révèle d’importantes différences de coûts tarifaires, à garanties identiques, entre les délégations d’assurances.

Illustration d’économies réalisées selon l’assurance emprunteur

A titre d’exemple : un homme âgé de 40 ans qui emprunte 100 000 € sur 15 ans  pour l’achat d’une résidence principale et qui doit souscrire une garantie Décès / Perte Totale et Irréversible d’Autonomie / Incapacité Temporaire et Totale dès le 91 ème jour et Invalidité Permanente Totale obtient des conditions tarifaires différentes en fonction des compagnies interrogées :
La délégation d’assurance la moins chère, à garanties identiques, ressort à un taux de 0,166 % du capital restant dû ce qui représente un coût total d’assurance d’un montant de 2 490 €. Tandis que le taux moyen de la délégation d’assurance la plus chère ressort à 0,29 % ce qui représente un coût total d’assurance de 4 350 €. Dans cet exemple, l’économie est de 1 860 € sur le coût total de l’assurance soit 43 % d’économie.

Prêt Immobilier : Comment décrocher un bon taux ?

Logo_credixiaLe marché du crédit immobilier reste dynamique en dépit du contexte économique actuel. Les banques sont actives et enclins à attribuer des crédits immobiliers. Encore faut-il savoir comment s’y prendre pour décrocher la meilleure offre….En tant qu’Intermédiaire en Opérations de Banque, CREDIXIA joue plus que jamais son rôle d’expert pour informer et négocier les meilleures conditions de financement. Suivez le guide !

1 – Bien ficeler son dossier de prêt 

Avant toute négociation, vous devez préparer minutieusement votre dossier de prêt immobilier, de telle sorte qu’il inspire confiance à la banque.

D’abord, mettez autant de fonds propres que possible. Dans la plupart des banques, le montant de l’apport personnel est un élément essentiel de négociation pour faire baisser le taux. Financer plus de 20 % du montant de l’acquisition avec des fonds propres est un élément très apprécié par les banquiers.

Ensuite pour décrocher le meilleur taux du marché, il faut anticiper un minimum. Trois mois avant de déposer une demande, nettoyez vos comptes bancaires, qui seront soigneusement épluchés sur cette période. Autant que possible, soldez vos crédits à la consommation. Tout épisode de découvert est à proscrire, fût-il très court et d’un montant faible au regard de votre épargne.

Enfin, sachez vendre vos points forts. Vous n’avez pas de gros revenus ou vos rentrées financières sont irrégulières ? Insistez sur votre jeune âge, votre fort potentiel professionnel, la stabilité de vos revenus complémentaires, l’ancienneté chez votre employeur ou encore une baisse de vos charges fixes dans les années à venir. Une capacité d’épargne prouvée constituera incontestablement un atout. Réserver chaque mois une somme conséquente à son épargne ne pourra que rassurer la banque sur votre aptitude à faire face à une certaine pression financière. Il préfèrera un client à petit revenu justifiant d’une capacité à épargner plutôt qu’un client à fort revenu mais sans effort d’épargne.

2 – Passer par un courtier

Tous les établissements bancaires ne proposent pas les mêmes conditions de crédit.D’abord parce qu’ils n’ont pas les mêmes coûts de refinancement selon qu’ils appartiennent à des enseignes spécialisées ou à un grand réseau national de banques de dépôts. Ensuite parce que chaque banque a sa propre politique tarifaire. Celle-ci peut d’ailleurs varier d’une région à l’autre et d’une période de l’année à l’autre en fonction des objectifs commerciaux qu’elle souhaite développer. Certaines banques cherchent à capter une clientèle cible et développent des conditions avantageuses pour celle-ci. Telle banque cherchera à capter les fonctionnaires, une autre les professions libérales ou les jeunes cadres à « potentiel »….

Enfin, les meilleures offres sont souvent limitées dans le temps, parfois quelques semaines, le temps de faire le plein de nouveaux clients et remplir les objectifs. De sorte qu’il est presque impossible pour un particulier de s’adresser à la bonne banque au bon moment. Sauf à passer par un courtier en crédit, au fait des grilles tarifaires de l’ensemble du marché. Son rôle est de négocier à la place de son client et de décrocher la meilleure solution de financement.

3 – Négocier la délégation d’assurance 

Les banques proposent en général des contrats qu’elles souscrivent au profit de leurs clients (appelés contrats « groupe »). Mais la loi Lagarde les oblige désormais à accepter que les emprunteurs aient la possibilité de s’assurer auprès de la compagnie de leur choix.
L’assurance de prêt est un paramètre important à négocier. D’une part parce que les contrats groupe sont chers, souvent plus chers que les contrats individuels, y compris pour les clients âgés de plus de 45 ans. Et, d’autre part, parce que le poids relatif de l’assurance sur le coût total du crédit est d’autant plus significatif que les taux d’intérêts sont bas. De sorte qu’il est possible, d’obtenir un bon taux de crédit mais d’en perdre le bénéfice pour s’être désintéressé de l’assurance.

En négociant une délégation d’assurance, vous pouvez réaliser jusqu’à 60% d’économie sur le coût total de l’assurance de prêt, et bénéficier d’une solution d’assurance performante, même dans les cas spécifiques de risques aggravés, tel que la pratique d’un sport dangereux ou d’une profession à risque.

En résumé, faire appel à un courtier c’est un gain de temps, d’argent, et de tranquillité. Notre objectif est d’obtenir la solution de financement la moins chère et surtout la mieux adaptée aux besoins du client. CREDIXIA prend en charge l’ensemble des négociations, constitue le dossier de prêt à la place du client, négocie les meilleures conditions de taux et d’assurance et suit le client jusqu’à la signature notaire, et tout cela gratuitement*.

 

Mieux Vivre Votre Argent : Les Taux des crédits au plus bas

mieux_vivre_votre_argentIl est plus difficile d’obtenir un crédit aujourd’hui. Mais ceux qui y parviennent bénéficient d’un taux très attractif. Pour combien de temps ?

Y a-t’il eu un resserrement des conditions de crédit ? Telle a été la question que nous avons régulièrement posée cette année aux banques et aux courtiers. Sur ce point, les avis sont partagés. Certains estiments que les banques sont devenues plus exigeantes, réclamant un apport de 10 à 20%, un emploi stable, un endettement maximum de 30% au lieu de 33% à 35% accordé auparavant…D’autres estiment que les conditions de crédit n’ont pas changé d’un iota, parce que les banques françaises étaient déjà très prudentes. Au fond, tant mieux. En tant qu’acquéreur, ce durcissement serait dans tous les cas positifs : si l’on vous refuse un crédit, c’est que vous risqueriez d’avoir du mal à honorer votre mensualité.

Dans ce cas, est-ce vraiment le moment d’acheter ? Si vous êtes vendeur, cette situation vous rendra plus attentif au plan de financement des potentiels acquéreurs. Et vous limiterez ainsi les risques de signer un compromis qui n’aboutira pas ensuite faute de prêt accordé. Autre bonne nouvelle : les taux des crédits n’ont quasiment jamais été aussi bas. « Nous ne sommes pas loin du record de 2,95% sur quinze ans atteint en octobre 2005 », se rejouit Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi. Surtout, si les taux moyens son déjà très attractifs (voir tableau), les meilleurs profils parviennent à obtenir des conditions bien plus attractives, de 0,2 à 0,3 point en dessous de ces moyennes.

Les taux variables à nouveaux attractifs

Et, pour décrocher un taux encore meilleur, reste l’option du taux variable, à nouveau très compétitif. Car la baisse des taux de la Banque Centrale Européenne au niveau le plus bas depuis la naissance de l’euro a un impact sur les taux courts qui, eux, influencent directement les taux variables. Du coup, aujourd’hui, « on peut obtenir un taux variable capé 1 à 3,40% », constate Jérôme Robin, PDG de Vousfinancer.com.

Si les banques décidaient de de répercuter complètement l’amélioration de leurs conditions de refinancement, les taux des crédits pourraient encore baisser d’ici à la fin 2012. D’autant que la diminution des montants prêtés depuis le debut de l’année pourrait pousser les établissements financiers à se montrer à nouveau offensifs. Tout dépendra aussi évidemment de l’évolution du contexte économique global. La baisse des  taux a survécu à la dégradation de la note de la France par l’agence de notation Standard & Poor’s. Si Moody’s et/ou Fitch suivaient, les taux pourraient redécoller.

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Direct Gestion : ASSURANCES PRÊTS IMMOBILIERS : CREDIXIA SE DIT CAPABLE DE VOUS ÉVITER 43% DE DÉPENSES SUPPLÉMENTAIRES

direct-gestionLe choix de l’assurance emprunteur est un élément clé à négocier lors de la mise en place d’un prêt immobilier. En choisissant une délégation d’assurance, qui est en moyenne 40% moins chère qu’une assurance groupe proposée par la banque, l’emprunteur peut réaliser d’importantes économies sur le cout global de son prêt.

Cependant, le choix entre les différents contrats individuels n’est pas aisé. CREDIXIA constate une forte disparité entre les délégations d’assurances proposées par les compagnies d’assurances : il est possible de réaliser jusqu’à 43% d’économie d’une délégation à une autre en fonction du choix de l’assureur !

Faites appel à un courtier en assurance de prêt !

Chaque compagnie d’assurance applique un taux préférentiel selon la profession, la tranche d’âge et le montant du prêt qu’elle souhaite capter d’où l’importance de faire appel à un courtier. CREDIXIA, en relation avec tous les acteurs du marché, réalise une étude comparative à chaque demande de prêt et sélectionne le contrat le plus adapté au profil de l’emprunteur, au meilleur cout tarifaire et, à garanties au minimum égales à celles prévues dans le contrat groupe de la banque émettrice de l’offre de prêt.

CREDIXIA sélectionne la meilleure délégation d’assurance

La dernière étude comparative réalisée par CREDIXIA en septembre 2012 auprès de ses compagnies d’assurances partenaires révèle d’importantes différences de coûts tarifaires, à garanties identiques, entre les délégations d’assurances.

A titre d’exemple : un homme âgé de 40 ans qui emprunte 100 000 euros sur 15 ans pour l’achat d’une Résidence Principale et qui doit souscrire une garantie Décès / Perte Totale et Irréversible d’Autonomie / Incapacité Temporaire et Totale dès le 91ème jour et Invalidité Permanente Totale obtient des conditions tarifaires différentes en fonction des compagnies interrogées.
La délégation d’assurance la moins chère, à garanties identiques, proposée par CREDIXIA ressort à un taux de 0,166 % du capital restant dû ce qui représente un cout total d’assurance d’un montant de 2 490 €. Tandis que le taux moyen de la délégation d’assurance la plus chère ressort à 0,29 % ce qui représente un cout total d’assurance de 4 350 €.

Dans cet exemple, CREDIXIA fait gagner 1 860 € sur le cout total de l’assurance soit 43% d’économie.

CREDIXIA observe de Forte Disparité Tarifaire pouvant atteindre jusqu’à 43% sur les Délégations d’Assurances de Prêts Immobiliers

Logo_credixiaTarifaire pouvant atteindre jusqu’à 43% sur les Délégations d’Assurances de Prêts Immobiliers

Le choix de l’assurance emprunteur est un élément clé à négocier lors de la mise en place d’un prêt immobilier. En choisissant une délégation d’assurance, qui est en moyenne 40% moins chère qu’une assurance groupe proposée par la banque, l’emprunteur peut réaliser d’importantes économies sur le cout global de son prêt. Cependant, le choix entre les différents contrats individuels n’est pas aisé. CREDIXIA constate une forte disparité entre les délégations d’assurances proposées par les compagnies d’assurances : il est possible de réaliser jusqu’à 43% d’économie d’une délégation à une autre en fonction du choix de l’assureur !

Faites appel à un courtier en assurance de prêt !

Chaque compagnie d’assurance applique un taux préférentiel selon la profession, la tranche d’âge et le montant du prêt qu’elle souhaite capter d’où l’importance de faire appel à un courtier. CREDIXIA, en relation avec tous les acteurs du marché, réalise une étude comparative à chaque demande de prêt et sélectionne le contrat le plus adapté au profil de l’emprunteur, au meilleur cout tarifaire et, à garanties au minimum égales à celles prévues dans le contrat groupe de la banque émettrice de l’offre de prêt.

CREDIXIA sélectionne la meilleure délégation d’assurance

La dernière étude comparative réalisée par CREDIXIA (septembre 2012) auprès de ses compagnies d’assurances partenaires révèle d’importantes différences de coûts tarifaires, à garanties identiques,  entre les délégations d’assurances. A titre d’exemple : un homme âgé de 40 ans qui emprunte 100 000 euros sur 15 ans  pour l’achat d’une Résidence Principale et qui doit souscrire une garantie Décès / Perte Totale et Irréversible d’Autonomie / Incapacité Temporaire et Totale dès le 91 ème jour et Invalidité Permanente Totale obtient des conditions tarifaires différentes en fonction des compagnies interrogées :
La délégation d’assurance la moins chère, à garanties identiques, proposée par CREDIXIA ressort à un taux de 0,166 % du capital restant dû ce qui représente un cout total d’assurance d’un montant de 2 490 €.  Tandis que le taux moyen de la délégation d’assurance la plus chère ressort à 0,29 % ce qui représente un cout total d’assurance de 4 350 €. Dans cet exemple, CREDIXIA fait gagner 1 860 € sur le cout total de l’assurance soit 43% d’économie.

CREDIXIA : Nouvelles dispositions sur la Loi Scellier

Logo_credixiaLa Ministre du Logement, Cécile Duflot, a dévoilé les détails du dispositif de relance de la politique de logement, et notamment les mesures qui remplaceront, en janvier 2013, l’actuelle Loi Scellier.

L’objectif de ces nouvelles mesures est de lutter contre la crise du logement et la pénurie de biens dans les zones sensibles, pour les ménages les plus modestes. Le dispositif « sera plus incitatif fiscalement mais, en contrepartie, il comportera des exigences sociales renforcées« . Si la Loi Scellier s’est donnée pour objectif la construction cette année de 30 000 logements en 2012, la Loi Duflot vise les 40 000 logements pour 2013 !

La réforme devrait porter principalement sur les mesures fiscales. Tout d’abord, « Le taux de réduction d’impôt sera compris entre 17 et 20% de l’investissement, ce qui est supérieur aux taux actuellement en vigueur pour le Scellier classique (13% sur 9 ans) et pour le Scellier intermédiaire (17% sur 12 ans et 21% sur 15 ans) ». La ministre a également souligné qu’un  « bonus » pourrait concerner les bâtiments à très haute performance énergétique, et que la réduction d’impôt ne s’étalerait qu’entre 9 et 12 ans. Enfin, côté investissement, le plafond sera de 300.000 € maximum.

La Loi Duflot imposera des conditions d’éligibilités plus contraignantes aux investisseurs. En premier lieu : « Le nouveau dispositif fera partie des niches qui passeront sous le plafond global de 10.000 € ». Les zones pour lesquelles la Loi Duflot s’appliquera seront plus précises. En effet, la ministre compte favoriser les zones les plus sensibles en matière de logement et de déficit locatif. « Les zones concernées seront moins nombreuses que dans le zonage utilisé dans le Scellier, afin de concentrer l’incitation là où sont les besoins. Et s’il n’y a pas besoin de logements dans certaines zones, les particuliers investisseurs ne pourront recourir à notre dispositif. »

Deuxième point : « les plafonds de ressources des locataires seront baissés par rapport à ceux du dispositif Scellier intermédiaire, pour concentrer le nouveau dispositif sur les classes modestes et moyennes, notamment pour ceux qui se situent juste au-dessus des plafonds donnant accès au logement social. »

Concernant le Prêt à Taux Zéro +, il pourrait faire son retour dans l’ancien. « Le PTZ+ sera prochainement recentré sur les ménages des classes moyennes et modestes qui en ont réellement besoin, et son efficacité sera améliorée via un accroissement des différés d’amortissement. »

Bercy envisagerait aussi de maintenir deux autres niches fiscales à dominante immobilière, la loi Malraux et le dispositif en faveur de l’investissement dans les DOM-TOM.