Prorogation de la loi Scellier jusqu’au 31 mars 2013

Logo_credixiaLe projet de loi de finances pour 2013 vient d’être voté par les députés en première lecture en date du 20 novembre 2012. Il prévoit notamment la prolongation de la loi Scellier jusqu’au 31 mars 2013, sous certaines conditions.

Le dispositif  Scellier devait prendre fin au 31 décembre 2012. Le projet de loi adopté par les députés prévoit de maintenir le dispositif pour certains investissements durant le premier trimestre 2013 lorsque ceux-ci  ont été engagés de façon certaine avant le 31 décembre 2012.
Il s’agit ainsi des logements acquis au plus tard le 31 mars 2013 dès lors que l’investisseur justifie qu’il a pris, au plus tard le 31 décembre 2012, l’engagement de réaliser un investissement immobilier.
L’engagement de réaliser un investissement immobilier peut prendre la forme d’une réservation, à condition qu’elle soit enregistrée chez un notaire ou au service des impôts au plus tard le 31 décembre 2012 et que l’acte authentique soit passé au plus tard le 31 mars 2013.

Concernant la mise en place d’un prêt immobilier, si la réservation est actée avant le 31/12/2012, l’offre de prêt peut être éditée après cette date ; cependant, le dossier devra être finalisé et l’acte authentique signé chez le notaire avant le 31/03/2013.

Avec des taux d’intérêts au plus bas et la possibilité d’obtenir une délégation d’assurance adaptée à chaque emprunteur, c’est le moment ou jamais de s’interroger sur l’opportunité de réaliser un investissement « Scellier ».

Le département en gestion de patrimoine de CREDIXIA aide ses clients à réaliser leur projet de défiscalisation. Un expert CREDIXIA réalise systématiquement un bilan de la situation patrimoniale de son client pour mettre en œuvre des solutions pertinentes d’optimisation fiscale. Notre réactivité face à la mise à jour des règlementations juridiques et fiscales nous permettent d’adapter les stratégies à mettre en place pour chaque opération patrimoniale. CREDIXIA accompagne également les emprunteurs dans la recherche et la négociation des meilleures conditions de prêt immobilier. Notre objectif est d’obtenir la solution de financement la moins chère et surtout la mieux adaptée aux besoins du client. CREDIXIA prend en charge l’ensemble des négociations, constitue le dossier de prêt à la place du client, négocie les meilleures conditions de taux et d’assurance, suit le client jusqu’à la signature notaire.
Concernant la réduction d’impôt, celle-ci s’applique au taux en vigueur au 31 décembre 2012 pour les logements acquis en 2012. Un contribuable ne peut, pour un même logement, bénéficier à la fois de la réduction d’impôt « Duflot » et de la réduction d’impôt « Scellier ».

Ce tempérament ne s’applique pas aux souscriptions de SCPI ou aux constructions de logement par le contribuable. Les investissements « Scellier » 2013 devraient être soumis au plafonnement global de 10 000 euros.

Il ne s’agit que d’une partie du projet de loi et non de la loi définitive qui n’est pas encore adoptée dans son ensemble par le Parlement. Ainsi, les dispositions présentées peuvent être sujettes à modification voire à suppression avant la publication de la loi.

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Actualité patrimoniale concernant la thématique PERP / Les décisions à prendre dans les jours à venir

Logo_credixiaLa mensualisation de vos impôts pour 2013 : la date limite est fixée au 15 décembre.

Si vous envisagez d’opter, à compter de janvier 2013, pour la mensualisation de vos impôts (impôt sur le revenu, taxe d’habitation, taxe foncière) il ne vous reste plus que quelques jours pour adhérer au système du prélèvement mensuel.

Par ailleurs, si vous êtes redevables de l’ISF et que votre patrimoine est compris entre 1 300 000 € et 3 000 000 €, vous pourrez cette année accéder, pour la première fois, à cette modalité de paiement. Mais là encore, pour que le premier prélèvement intervienne en janvier, il conviendra d’avoir réalisé les démarches au plus tard le 15 décembre !

« Prendre date » avant le 21 décembre 2012 sur les contrats PERP et Madelin.

Les contrats d’épargne retraite tels que les contrats Madelin et PERP prévoient, à l’échéance, la perception du capital accumulé sous forme de rente viagère. Or, pour les contrats qui seront souscrits à compter du 21 décembre 2012, cette rente sera, du fait de l’alignement des tables de mortalité entre hommes et femmes, amputée d’environ 15 %.

A retenir :
Pour les personnes qui ne disposeraient pas encore de contrats PERP ou Madelin, il est important d’envisager la souscription de tels contrats.

Si vous envisagez de porter vos livrets d’épargne réglementés au plafond … agissez avant la fin de l’année.

Une précision vient d’être apportée sur les modalités de calcul des nouveaux plafonds des livrets d’épargne réglementée (respectivement 19 125 € pour le Livret A et 12 000 € pour le LDD). Dorénavant, pour déterminer le montant des versements complémentaires que vous pouvez réaliser, il conviendra de s’appuyer non plus sur le montant des dépôts réalisés mais sur l’épargne constituée (qui comprend les versements mais également les intérêts).

Exemple :
Si vous détenez un livret A dont le solde est actuellement de 17 000 € du fait de la capitalisation des intérêts (correspondant à 15 300 € de dépôts), vous ne pourrez verser que 2 125 € supplémentaires d’ici la fin de l’année.


A retenir :
Si vous envisagez de porter vos livrets au plafond, vous avez donc tout intérêt à le faire avant la fin de l’année afin de ne pas voir vos possibilités de versement diminuées de la capitalisation de l’année.

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L’EXPANSION : 5 clés pour réussir votre investissement immobilier

expansion-logoDe la bonne formule d’emprunt à la gestion attentive de votre bien, en passant par le choix du locataire idéal, L’Expansion vous livre le vade-mecum du propriétaire-bailleur heureux.

Tous les investisseurs ont les yeux braqués sur les dispositifs fiscaux Scellier ou Duflot. Mais, quand on acquiert une petite surface pour la louer, on n’achète pas de la fiscalité, on achète d’abord un bien immobilier. Pour le choisir, le financer, le louer et le gérer correctement, voici quelques rappels de bon sens.

Évaluez au mieux votre futur bien

1 250 euros. Ce n’est pas le prix au mètre carré du deux-pièces dans lequel vous comptez investir. A ce tarif-là, on ne trouve plus grand-chose dans les 300 premières villes françaises. C’est à peu près ce que vous coûtera un expert immobilier agréé (à raison d’une dizaine d’heures de travail à 125 euros hors taxes) si vous lui demandez d’estimer la valeur vénale d’un bien avant de l’acheter.

Si vous ne voulez pas vous payer les services de ce professionnel, pourquoi ne pas essayer de se glisser dans sa peau en reproduisant sa méthode de travail ? Etape par étape, voici comment procède l’un d’eux pour estimer la valeur d’un bien.

Première chose, vérifier si le bien immobilier que l’on voit correspond au titre de propriété : superficie ? Parties habitables ? Couloir appartenant ou non à la copropriété ?… Deuxième étape : vérifier si, dans le règlement de copropriété, la destination du bien correspond à son utilisation. Sachant qu’il faut deux autorisations pour transformer la nature d’un bail : l’accord de la copropriété et celui de l’administration (la mairie de Paris, par exemple).

Ensuite, faire un état des lieux méticuleux ou le confier à un huissier. C’est une étape extrêmement importante dans la détermination du prix, étant donné le coût des mises aux normes. Puis intervient ce que les experts immobiliers appellent la « pesée » : on « pèse » les charmes et les nuisances de l’appartement – étage, orientation, vis-à-vis, bruit de la rue, qualité du plan… Etape suivante : vérifier les principaux postes de charges (toiture, mise aux normes de l’ascenseur, ravalement, gardiennage…).

Reste à trouver des références comparables dans le quartier et à pondérer finement l’estimation par rapport au prix des notaires : vous tenez votre prix.

Adoptez la bonne formule de crédit

L’offre de crédit est-elle différente pour un investisseur locatif et pour un acheteur de résidence principale ? A cette question, Estelle Laurent, la responsable de la communication du courtier en crédit Credixia, donne deux réponses : « Les banques spécialisées en immobilier (Crédit foncier de France, GE Money Bank, Banque privée européenne, Banque patrimoine & immobilier…) pratiquent le même taux pour les deux types de projet.

Les banques de dépôts classiques, elles, proposent le même taux que pour la résidence principale à condition d’avoir une « relation bancaire globale », c’est-à-dire la domiciliation des salaires ou des loyers.  Dans le cas contraire, elles peuvent majorer le taux du crédit investisseur de 0,10 à 0,30 point. »

Un crédit investisseur a une durée optimale de quinze ans,correspondant souvent à la durée maximale des avantages fiscaux liés à la location du bien. On emprunte en général à 100 % (de moins en moins à 110 % en incluant les frais de notaire), et les banques prêtent rarement au-delà de vingt ans pour un investissement locatif. Côté assurance, la couverture du risque décès-invalidité-arrêt de travail, primordiale en résidence principale, n’est pas obligatoire, car la mensualité payée par le locataire couvre le prêt. Du coup, l’assurance est moins chère.

Un emprunteur cadre non fumeur de 40 ans demandant 100 000 euros sur quinze ans paiera 0,09 % d’assurance en locatif, contre 0,18 % en résidence principale. Même souplesse en ce qui concerne le taux d’endettement : si l’emprunteur est propriétaire de sa résidence principale, la banque pourra accepter d’intégrer son revenu locatif à hauteur de 70 % dans le calcul de ses revenus, ce qui peut faire passer le taux d’endettement autorisé de 33 à plus de 35 %.

(….)

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TMC : Le courtier Credixia fait un pied de nez au crédit relais avec son prêt Achat Revente.

tmcLe courtier Credixia fait un pied de nez au crédit relais avec son prêt Achat Revente.

C’est une bonne nouvelle que le courtier Credixia annonce aux consommateurs ; il existe désormais une alternative au crédit relais. Il est temps d’accueillir le prêt Achat Revente !

Jusqu’ici, les propriétaires qui n’ont pas encore vendu leur bien actuel, mais souhaitent de nouveau investir n’ont d’autre choix que de passer par le fameux crédit relais. Néanmoins, face aux dernières tendances, les banques rechignent à consentir à ce financement. Désormais, les acheteurs vont pouvoir passer au prêt Achat Revente.

Le crédit relais – les propriétaires qui l’ont contracté vous le diront – est un financement lourd de conséquences. S’il permet de faire la jonction entre la vente d’un bien et l’achat d’un autre, il ajoute de charges supplémentaires au portemonnaie déjà bien éprouvé. D’ailleurs, les banques sont bien moins nombreuses à accepter de prêter cet argent en quantité suffisante pour permettre aux acheteurs de conclure leur transaction. Maintenant, il existe un système bien plus efficace, le prêt Achat Revente, mis en place par Credixia.

Ce fameux prêt Achat Revente inclut la globalité du projet d’achat. Il comprend non seulement la reprise de l’ancien crédit, mais également le nouveau bien. Les emprunteurs disposent ainsi de la totalité du montant de l’achat, la commission d’agence et enfin, les éventuels frais de notaires.

Seule condition pour mener à bien ce projet et rentrer dans vos frais, revendre le bien de départ dans les deux ans, aux meilleures conditions possibles.

Credixia sonne-t-il le glas du fameux crédit relais ? Si tel est le cas, tout le monde devrait trouver son compte ; d’un côté les banques frileuses, de l’autre les consommateurs qui ont peur de contracter un tel financement généreux en effets indésirables. Il ne vous reste plus qu’une chose à faire, découvrir les détails du prêt Achat Revente sur le site internetdu courtier !

Esteval.fr : Credixia propose une solution Achat/Revente pour éviter le prêt relais.

_logo_estevalAlors qu’aujourd’hui 40% des acquéreurs mènent simultanément une opération d’achat et de revente et ont recours, dans 25% des cas, à un prêt relais, certains établissements n’acceptent plus ces dossiers et incitent les personnes à vendre avant d’acheter un nouveau bien.Pour simplifier et sécuriser ce type d’opération, Credixia propose la solution du crédit Achat-Revente.

Un crédit unique qui englobe l’ensemble du projet : reprise de l’ancien prêt et financement du nouveau bien (100% du montant de l’acquisition, commission d’agence et, éventuellement, frais de notaires, compris). Le client a 2 ans pour vendre son bien dans les meilleures conditions possibles. Une fois la vente faite le client a la possibilité de garder jusqu’à 20% du montant de la vente ou réinjecter la totalité de la vente dans son prêt ce qui lui permet soit de diminuer la durée, soit la mensualité.

Grâce au prêt achat-revente le client bénéficie du taux de prêt immobilier classique, qui peut-être inférieur au taux du prêt relais sec, ce qui permet un gain sur le cout total des intérêts. Lors du remboursement anticipé, l’emprunteur est totalement exonéré de pénalités quelque soit le montant d’apport injecté. De plus, en fusionnant deux prêts en un seul, le client paie une seule fois les frais de garantie lié au prêt.

Le Nouvel obs : CREDIXIA devient membre de l’AFIB

logo-nouvel-obsL’intermédiaire bancaire CREDIXIA rejoint l’AFIB, association représentante des IOBSP.

L’AFIB (Association Française des Intermédiaires Bancaires) compte un nouveau membre, l’intermédiaire CREDIXIA. Créé en 1999, CREDIXIA est répertorié au fichier national des démarcheurs bancaires et financiers.

Il possède une assurance de responsabilité professionnelle et est membre de l’AFIB. L’AFIB a pour but de représenter des Intermédiaires en Opérations de Banque (IOB).

Depuis janvier 2012, un décret d’application précise le statut d’IOB et son champ d’application. Ce texte
soumet ces intermédiaires à des obligations de capacité professionnelle, d’assurance de responsabilité professionnelle ou de garantie financière ainsi qu’à des règles de bonne conduite.

Les intermédiaires qui travaillent sous mandat délivré par un ou plusieurs établissements de crédit et
déclarés auprès de l’Organisme pour le registre des intermédiaires en assurance (ORIAS) tireront bénéfice de la catégorie « courtier ». Les consommateurs peuvent interroger l’ORIAS afin de déterminer si leur interlocuteur IOB est bien inscrit sur ce registre. Dans le cas d’absence d’enregistrement, l’IOB
n’a pas le droit d’exercer et il peut encourir des sanctions.

Le décret dispose sur la création d’associations professionnelles représentant les intérêts d’une ou plusieurs catégories de personnes. Ces associations relèvent de la compétence de l’Autorité de contrôle prudentielle (ACP). Pour voir le jour, les associations doivent élaborer un code déontologique qui récise les règles applicables à ses adhérents. Ces associations seront soumises au contrôle de l’ACP.