CREDIXIA propose une solution Achat/Revente pour éviter le prêt relais

Logo_credixiaAujourd’hui, 40% des acquéreurs mènent simultanément une opération d’achat et de revente, et dans 25 % des cas, ils ont recours à un prêt relais. Or, certains établissements n’acceptent plus les dossiers avec prêt relais ou incitent les personnes concernées à vendre avant d’acheter un nouveau bien, ceci afin d’éviter les dérives du prêt relais. CREDIXIA propose une solution optimisée grâce au prêt Achat/Revente pour aider les emprunteurs à acquérir un bien lorsqu’ils sont déjà propriétaires.

Pouvoir acheter sans avoir vendu ?

Les banques se montrent très prudentes pour accorder un crédit relais permettant à un particulier de financer un nouvel achat avant d’avoir vendu son bien. Elles ont tendance à réviser à la baisse l’évaluation des biens. Leurs inquiétudes quant à l’évolution du marché résidentiel les poussent à réduire le montant du crédit relais accordé par rapport au montant d’expertise ce qui empêche souvent les emprunteurs d’investir à nouveau (les banques prennent, en générale, 70% de la valeur du bien en vente).

Solution CREDIXIA : le prêt Achat-Revente

Pour simplifier et sécuriser cette opération, CREDIXIA propose aux clients une autre solution : le crédit Achat Revente. Un crédit unique qui englobe l’ensemble du projet : reprise de l’ancien prêt et financement du nouveau bien (100% du montant de l’acquisition, commission d’agence et, éventuellement, frais de notaires, compris). Le client a 2 ans pour vendre son bien dans les meilleures conditions possibles. Une fois la vente faite le client a la possibilité de garder jusqu’à 20% du montant de la vente ou réinjecter la totalité de la vente dans son prêt ce qui lui permet soit de diminuer la durée, soit la mensualité.

Avantage de l’Achat-Revente

Grâce au prêt achat-revente le client bénéficie du taux de prêt immobilier classique, qui peut-être inférieur au taux du prêt relais sec, ce qui permet un gain sur le cout total des intérêts.
Lors du remboursement anticipé, l’emprunteur est totalement exonéré de pénalités quelque soit le montant d’apport injecté. De plus, en fusionnant deux prêts en un seul, le client paie une seule fois les frais de garantie lié au prêt.

BOURSORAMA : Un dossier bien ficelé pour demander son prêt immobilier

logo-boursoramaSi le marché immobilier reste attentiste, celui du crédit, lui, est dynamique. Les banques continuent d’accorder des prêts, et à des taux favorables. Reste qu’avant de présenter son dossier, il faut bien le préparer. Le courtier Credixia délivre ses conseils.

Les taux des emprunts immobiliers demeurent très attractifs. Mais même si certaines banques sont en quête de nouveaux clients, elles ne distribuent pas non plus les prêts comme des petits pains.

Alors, règle d’or : avant toute demande de prêt, il faut préparer avec minutie son dossier, comme le rappelle le courtier Crédixia. Objectif : inspirer confiance à l’établissement bancaire.

Tout d’abord, il faut mettre en avant ses fonds propres, car financer plus de 20% du montant de l’achat demeure un élément essentiel de négociation pour faire baisser le taux d’un prêt immobilier.

Ensuite, il faut anticiper au moins trois mois à l’avance sa demande d’emprunt en nettoyant ses comptes bancaires. Car ces derniers vont être épluchés. Il faut par conséquent, solder tout crédit à la consommation, et éviter durant cette période tout épisode de découvert, même le plus minime.

En outre, si points forts il y a, ils doivent être mis en avant. Par exemple, les petits revenus ou rentrées financées irrégulières peuvent être contrebalancés. Jeune âge, fort potentiel professionnel, stabilité de revenus complémentaires, ancienneté chez l’employeur ou baisse programmée des charges fixes sont autant d’atouts à même de rééquilibrer la balance.

Enfin, mettre régulièrement une somme conséquente de côté rassure les banques. Elles préfèrent les petits revenus justifiant d’une réelle capacité à épargner qu’un client aisé qui ne pense pas à économiser.

CREDIXIA devient membre de l’AFIB

Logo_credixiaDepuis janvier 2012, un décret d’application définit le statut d’intermédiaire en opérations de banque (IOB) et précise son champ d’application. Désormais, seuls pourront se prévaloir de la catégorie de « courtier » les intermédiaires qui travaillent sous mandat du client, qui agissent en vertu d’un mandat délivré par un ou plusieurs établissements de crédit et déclarés auprès de l’Organisme pour le registre des intermédiaires en assurance (ORIAS). En l’absence d’enregistrement, des sanctions pourront être prononcées à l’encontre de l’IOB.

Les consommateurs peuvent interroger l’ORIAS afin de déterminer si leur interlocuteur IOB est bien inscrit sur ce registre. Si ce n’est pas le cas, l’IOB n’a tout simplement pas le droit d’exercer. Le texte soumet également les IOB à des obligations de capacité professionnelle, d’assurance de responsabilité professionnelle ou de garantie financière ainsi qu’à des règles de bonne conduite.
Le décret introduit également la création d’associations professionnelles pour représenter les intérêts d’une ou plusieurs catégories de personnes relevant de la compétence de l’Autorité de contrôle prudentielle et pour élaborer un code de conduite destiné à préciser les règles applicables à ses adhérents. Ces associations seront soumises au contrôle de l’Autorité de contrôle prudentiel.

CREDIXIA est répertorié au fichier national des démarcheurs bancaires et financiers, a une assurance de responsabilité professionnelle et est membre de l’AFIB (Association Française des Intermédiaires Bancaires). L’AFIB a pour objet principal de représenter et défendre les intérêts de la profession d’Intermédiaire en Opérations de Banque.

En tant que membre de l’AFIB, CREDIXIA s’engage à en respecter le code éthique. CREDIXIA s’inscrit dans une démarche de transparence et de professionnalisme pour une protection renforcée des emprunteurs et une sécurité optimale des partenariats bancaires. L’enseigne poursuit son ascension et affiche des objectifs ambitieux à l’horizon 2013.

Trouver-un-logement.com : Assurance emprunteur : comment faire baisser la facture ?

logo-tuln-2011-bigLa loi Lagarde de 2010 a ouvert à la concurrence l’assurance emprunteur dans le cadre d’un crédit immobilier. De quoi réaliser d’importantes économies sur le coût de son emprunt en passant par un courtier spécialisé. Explications.

Avec l’ouverture à la concurrence du marché des assurances des crédits bancaires depuis 2010 et la loi Lagarde, le courtier en crédit immobilier, Credixia a repéré de fortes disparités tarifaires selon les délégations d’assurances de prêts immobiliers.

En effet, le choix de l’assurance emprunteur est un élément clé à négocier lors de la mise en place d’un prêt immobilier. En choisissant une délégation d’assurance, qui est en moyenne 40 % moins chère qu’une assurance groupe proposée par la banque, l’emprunteur peut réaliser d’importantes économies sur le coût global de son emprunt immobilier.

Cependant, le choix entre les différents contrats individuels n’est pas aisé. Credixia constate par exemple une forte disparité entre les délégations d’assurances proposées par les compagnies d’assurances : il est possible de réaliser jusqu’à 43 % d’économie d’une délégation à une autre en fonction du choix de l’assureur, selon le courtier.

Chaque compagnie d’assurance applique un taux préférentiel selon la profession, la tranche d’âge et le montant du prêt qu’elle souhaite capter d’où l’importance de faire appel à un courtier, qui réalise une étude comparative à chaque demande de prêt et sélectionne le contrat le plus adapté au profil de l’emprunteur, au meilleur coût tarifaire et à garanties au minimum égales à celles prévues dans le contrat groupe de la banque émettrice de l’offre de prêt.

La dernière étude comparative réalisée par Credixia en septembre 2012 auprès de ses compagnies d’assurances partenaires révèle d’importantes différences de coûts tarifaires, à garanties identiques, entre les délégations d’assurances.

Illustration d’économies réalisées selon l’assurance emprunteur

A titre d’exemple : un homme âgé de 40 ans qui emprunte 100 000 € sur 15 ans  pour l’achat d’une résidence principale et qui doit souscrire une garantie Décès / Perte Totale et Irréversible d’Autonomie / Incapacité Temporaire et Totale dès le 91 ème jour et Invalidité Permanente Totale obtient des conditions tarifaires différentes en fonction des compagnies interrogées :
La délégation d’assurance la moins chère, à garanties identiques, ressort à un taux de 0,166 % du capital restant dû ce qui représente un coût total d’assurance d’un montant de 2 490 €. Tandis que le taux moyen de la délégation d’assurance la plus chère ressort à 0,29 % ce qui représente un coût total d’assurance de 4 350 €. Dans cet exemple, l’économie est de 1 860 € sur le coût total de l’assurance soit 43 % d’économie.

Prêt Immobilier : Comment décrocher un bon taux ?

Logo_credixiaLe marché du crédit immobilier reste dynamique en dépit du contexte économique actuel. Les banques sont actives et enclins à attribuer des crédits immobiliers. Encore faut-il savoir comment s’y prendre pour décrocher la meilleure offre….En tant qu’Intermédiaire en Opérations de Banque, CREDIXIA joue plus que jamais son rôle d’expert pour informer et négocier les meilleures conditions de financement. Suivez le guide !

1 – Bien ficeler son dossier de prêt 

Avant toute négociation, vous devez préparer minutieusement votre dossier de prêt immobilier, de telle sorte qu’il inspire confiance à la banque.

D’abord, mettez autant de fonds propres que possible. Dans la plupart des banques, le montant de l’apport personnel est un élément essentiel de négociation pour faire baisser le taux. Financer plus de 20 % du montant de l’acquisition avec des fonds propres est un élément très apprécié par les banquiers.

Ensuite pour décrocher le meilleur taux du marché, il faut anticiper un minimum. Trois mois avant de déposer une demande, nettoyez vos comptes bancaires, qui seront soigneusement épluchés sur cette période. Autant que possible, soldez vos crédits à la consommation. Tout épisode de découvert est à proscrire, fût-il très court et d’un montant faible au regard de votre épargne.

Enfin, sachez vendre vos points forts. Vous n’avez pas de gros revenus ou vos rentrées financières sont irrégulières ? Insistez sur votre jeune âge, votre fort potentiel professionnel, la stabilité de vos revenus complémentaires, l’ancienneté chez votre employeur ou encore une baisse de vos charges fixes dans les années à venir. Une capacité d’épargne prouvée constituera incontestablement un atout. Réserver chaque mois une somme conséquente à son épargne ne pourra que rassurer la banque sur votre aptitude à faire face à une certaine pression financière. Il préfèrera un client à petit revenu justifiant d’une capacité à épargner plutôt qu’un client à fort revenu mais sans effort d’épargne.

2 – Passer par un courtier

Tous les établissements bancaires ne proposent pas les mêmes conditions de crédit.D’abord parce qu’ils n’ont pas les mêmes coûts de refinancement selon qu’ils appartiennent à des enseignes spécialisées ou à un grand réseau national de banques de dépôts. Ensuite parce que chaque banque a sa propre politique tarifaire. Celle-ci peut d’ailleurs varier d’une région à l’autre et d’une période de l’année à l’autre en fonction des objectifs commerciaux qu’elle souhaite développer. Certaines banques cherchent à capter une clientèle cible et développent des conditions avantageuses pour celle-ci. Telle banque cherchera à capter les fonctionnaires, une autre les professions libérales ou les jeunes cadres à « potentiel »….

Enfin, les meilleures offres sont souvent limitées dans le temps, parfois quelques semaines, le temps de faire le plein de nouveaux clients et remplir les objectifs. De sorte qu’il est presque impossible pour un particulier de s’adresser à la bonne banque au bon moment. Sauf à passer par un courtier en crédit, au fait des grilles tarifaires de l’ensemble du marché. Son rôle est de négocier à la place de son client et de décrocher la meilleure solution de financement.

3 – Négocier la délégation d’assurance 

Les banques proposent en général des contrats qu’elles souscrivent au profit de leurs clients (appelés contrats « groupe »). Mais la loi Lagarde les oblige désormais à accepter que les emprunteurs aient la possibilité de s’assurer auprès de la compagnie de leur choix.
L’assurance de prêt est un paramètre important à négocier. D’une part parce que les contrats groupe sont chers, souvent plus chers que les contrats individuels, y compris pour les clients âgés de plus de 45 ans. Et, d’autre part, parce que le poids relatif de l’assurance sur le coût total du crédit est d’autant plus significatif que les taux d’intérêts sont bas. De sorte qu’il est possible, d’obtenir un bon taux de crédit mais d’en perdre le bénéfice pour s’être désintéressé de l’assurance.

En négociant une délégation d’assurance, vous pouvez réaliser jusqu’à 60% d’économie sur le coût total de l’assurance de prêt, et bénéficier d’une solution d’assurance performante, même dans les cas spécifiques de risques aggravés, tel que la pratique d’un sport dangereux ou d’une profession à risque.

En résumé, faire appel à un courtier c’est un gain de temps, d’argent, et de tranquillité. Notre objectif est d’obtenir la solution de financement la moins chère et surtout la mieux adaptée aux besoins du client. CREDIXIA prend en charge l’ensemble des négociations, constitue le dossier de prêt à la place du client, négocie les meilleures conditions de taux et d’assurance et suit le client jusqu’à la signature notaire, et tout cela gratuitement*.

 

Mieux Vivre Votre Argent : Les Taux des crédits au plus bas

mieux_vivre_votre_argentIl est plus difficile d’obtenir un crédit aujourd’hui. Mais ceux qui y parviennent bénéficient d’un taux très attractif. Pour combien de temps ?

Y a-t’il eu un resserrement des conditions de crédit ? Telle a été la question que nous avons régulièrement posée cette année aux banques et aux courtiers. Sur ce point, les avis sont partagés. Certains estiments que les banques sont devenues plus exigeantes, réclamant un apport de 10 à 20%, un emploi stable, un endettement maximum de 30% au lieu de 33% à 35% accordé auparavant…D’autres estiment que les conditions de crédit n’ont pas changé d’un iota, parce que les banques françaises étaient déjà très prudentes. Au fond, tant mieux. En tant qu’acquéreur, ce durcissement serait dans tous les cas positifs : si l’on vous refuse un crédit, c’est que vous risqueriez d’avoir du mal à honorer votre mensualité.

Dans ce cas, est-ce vraiment le moment d’acheter ? Si vous êtes vendeur, cette situation vous rendra plus attentif au plan de financement des potentiels acquéreurs. Et vous limiterez ainsi les risques de signer un compromis qui n’aboutira pas ensuite faute de prêt accordé. Autre bonne nouvelle : les taux des crédits n’ont quasiment jamais été aussi bas. « Nous ne sommes pas loin du record de 2,95% sur quinze ans atteint en octobre 2005 », se rejouit Philippe Taboret, directeur général adjoint de Cafpi. Surtout, si les taux moyens son déjà très attractifs (voir tableau), les meilleurs profils parviennent à obtenir des conditions bien plus attractives, de 0,2 à 0,3 point en dessous de ces moyennes.

Les taux variables à nouveaux attractifs

Et, pour décrocher un taux encore meilleur, reste l’option du taux variable, à nouveau très compétitif. Car la baisse des taux de la Banque Centrale Européenne au niveau le plus bas depuis la naissance de l’euro a un impact sur les taux courts qui, eux, influencent directement les taux variables. Du coup, aujourd’hui, « on peut obtenir un taux variable capé 1 à 3,40% », constate Jérôme Robin, PDG de Vousfinancer.com.

Si les banques décidaient de de répercuter complètement l’amélioration de leurs conditions de refinancement, les taux des crédits pourraient encore baisser d’ici à la fin 2012. D’autant que la diminution des montants prêtés depuis le debut de l’année pourrait pousser les établissements financiers à se montrer à nouveau offensifs. Tout dépendra aussi évidemment de l’évolution du contexte économique global. La baisse des  taux a survécu à la dégradation de la note de la France par l’agence de notation Standard & Poor’s. Si Moody’s et/ou Fitch suivaient, les taux pourraient redécoller.

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