CREDIT IMMOBILIER : Zoom sur les frais de dossier des Courtiers

Logo_credixiaEn principe, les courtiers se rémunèrent d’une part grâce aux frais de dossier facturés aux emprunteurs et d’autre part par une commission, en général 1 % du montant du prêt, versée par la banque au titre d’apporteur d’affaires.

Les frais de dossier sont censés couvrir les dépenses relatives au temps passé à la constitution et au traitement du dossier de prêt. Ces charges peuvent atteindre entre 0,4 et 1 % du montant du prêt, mais la plupart des courtiers les plafonnent à 1 500 euros.

Chez CREDIXIA, le service proposé est 100% gratuit pour le particulier. CREDIXIA est le seul courtier de taille nationale à ne pas facturer de frais de dossier aussi bien sur internet, en agence et à la banque*. Le client ne paye rien, le service ne lui coûtera pas un centime chez nous et à la banque ! Un avantage qui permet de faire des économies supplémentaires sur le coût total du prêt.
Grâce à cette offre, CREDIXIA figure en tête du classement national d’une grande association de consommateurs, comme le courtier qui «propose le crédit le moins cher grâce à une délégation d’assurance négociée par ses soins et l’absence d’honoraire de courtage ».

CREDIXIA accompagne depuis 14 ans les particuliers dans leur recherche de crédit immobilier. Depuis la création de CREDIXIA, nous avons financés plus d’1 milliards de crédits, et 40% de nos clients viennent par recommandation.

Crédit Immobilier : CONSEILS FUTES POUR LES PRIMO-ACCEDANTS

Logo_credixiaTout ce qu’il faut savoir sur votre prêt avant d’acheter votre premier bien immobilier. CREDIXIA vous donne les conseils futés pour réaliser votre opération dans les meilleures conditions.

Enveloppe financière : Avant de signer un compromis de vente, évaluez votre capacité d’emprunt. Cela vous permettra d’orienter votre recherche de bien dans la fourchette de prix correspondant à votre pouvoir d’achat.

Apport personnel : Dans l’idéal, constituez-vous un apport minimum permettant de payer les frais de notaire soit 7% du prix d’acquisition dans l’ancien et 2,5% dans le neuf. En effet, de moins en moins de banques acceptent de financer les dossiers de prêt en 110%, sans apport personnel.

Informations sur les prêts conventionnés :

  • Si vous achetez dans le neuf, renseignez-vous sur la possibilité de souscrire un prêt à taux 0% et/ou un prêt 92 si vous achetez dans les Hauts-de-Seine.
  • Si vous habitez et achetez à PARIS, examinez votre  droit au Prêt Paris Logement.
  • Si vous achetez votre résidence principale, et que votre employeur cotise auprès d’un organisme de prêt patronal, vous avez peut-être droit à un prêt 1%.
  • Si vous êtes éligibles aux APL, pensez à vous renseigner sur le prêt PAS qui vous donnera accès à ces aides qui viendront en déduction de votre échéance de prêt.

Optimisez le montage de votre prêt :

Prêt à taux mixte → Ce type de prêt est fixe pendant une période donnée (5, 7, 10 ou 15 ans), puis révisable ensuite, le plus souvent capé 2. Le client bénéficie alors d’un taux plus bas qui lui permet de raccourcir la durée de son prêt. Ce prêt évite les risques de hausse du taux d’intérêt pendant les premières années, années durant lesquelles les intérêts à rembourser sont les plus élevés. Cette formule est très intéressante pour les primo-accédants qui ont une forte probabilité de revendre leur bien avant 7 ans.

Prêt Evolutif → Certaines banques proposent un prêt dit « évolutif » qui est bien à taux fixe pendant toute la durée du prêt, mais qui est assorti d’une modulation automatique d’échéance de 1% par an. En conséquence, la mensualité initiale, à partir de laquelle est calculé le taux d’endettement, est moindre, ce qui permet d’emprunter plus ou de réduire la durée du prêt.

Optez pour la délégation d’assurance : En négociant une délégation d’assurance, vous pouvez réaliser jusqu’à 60% d’économie* sur le coût total de l’assurance de prêt, et bénéficier d’une solution d’assurance performante, même dans les cas spécifiques de risques aggravés, tel que la pratique d’un sport dangereux ou d’une profession à risque.

Sachez vendre vos points forts : vous n’avez pas de gros revenus ou vos rentrées financières sont irrégulières ? Insistez sur votre jeune âge, votre fort potentiel professionnel, la stabilité de vos revenus complémentaires, l’ancienneté chez votre employeur, ou encore une baisse de vos charges fixes dans les années à venir. Une capacité d’épargne prouvée constituera incontestablement un atout : réserver chaque mois une somme conséquente à son épargne ne pourra que rassurer le banquier sur votre aptitude à faire face à une certaine pression financière. Il préfèrera un client à petit revenu justifiant d’une capacité à épargner plutôt qu’un client à fort revenu mais sans effort d’épargne.

DELEGATION D’ASSURANCE : Economisez jusqu’à 60%* sur le coût d’une assurance de prêt immobilier

Logo_credixiaLa souscription d’un crédit immobilier implique nécessairement l’adhésion à une assurance de prêt. Aussi, les établissements bancaires proposent systématiquement à leurs clients leur contrat d’assurance dit « groupe ». Loin d’être toujours performante, notamment pour les moins de 50 ans, la souscription de l’assurance groupe n’est pas obligatoire comme le précise la Loi Lagarde depuis 2010.

« Trois ans après l’entrée en vigueur de la loi Lagarde sur l’assurance emprunteur et à la veille de la discussion du projet de loi Consommation, l’UFC-Que Choisir dresse un bilan mitigé de l’effectivité de la libéralisation de l’assurance emprunteur des crédits immobiliers. » D’après leur enquête, « seule l’intervention des courtiers en crédits, disposant d’un pouvoir de négociation avec les banques, semble faciliter la souscription d’une assurance emprunteur déléguée ».

Partant du constat qu’aucune compagnie d’assurance n’est aujourd’hui compétitive sur l’ensemble des profils emprunteurs, CREDIXIA s’engage à étudier, comparer et sélectionner l’assurance emprunteur la moins chère et la plus adaptée au profil des clients tout en respectant l’équivalence des garanties bancaires.

Afin d’apporter un conseil de qualité aux emprunteurs dans le contexte réglementaire actuel, CREDIXIA utilise un comparateur d’assurances de prêts qui permet d’établir un devis comparatif entre l’assurance groupe de la banque et notre assurance en délégation.

Cet outil permet de réaliser des fiches comparatives présentant le positionnement des garanties de l’assurance individuelle face à celles de la banque. Il permet d’aborder les 10 points essentiels des garanties proposées par les contrats, en précisant les options à souscrire pour être équivalent ou supérieur à l’offre bancaire. Une fiche standardisée est automatiquement éditée avec tout devis, ce qui permet au client de comparer facilement les différentes assurances proposées.

Les principales caractéristiques à observer pour choisir une assurance de prêt sont :

  • Les garanties et leur niveau de prise en charge notamment sur les garanties incapacité (ITT) qui couvrent l’arrêt de travail de longue durée et invalidité (IPT/IPP) qui couvre l’invalidité physique dès 66% ou 33%.
  • Les exclusions qui portent sur certaines professions, sports et pathologies.
  • La fiabilité du contrat : caractère définitif et irrévocable du tarif et des garanties sur toute la durée du prêt.
  • Le type d’indemnisation en cas d’arrêt de travail : forfaitaire ou indemnitaire.
  • Le niveau de franchise qui se rapporte à la garantie incapacité temporaire totale de travail soit 30 jours, 60 jours, 90 jours, 180 jours.

Grâce à cet outil, le client peut réaliser jusqu’à 60% d’économie* sur le coût de son assurance de prêt, et bénéficier d’une solution d’assurance emprunteur performante même dans les cas spécifiques de risques aggravés, pratique d’un sport dangereux ou d’une profession à risque. Autres avantages de l’assurance individuelle : la possibilité de souscrire un prêt jusqu’à 500 000 € (en fonction de l’âge et de la durée du prêt) sans examens médicaux et d’assurer des clients jusqu’à 85 ans en Décès / Invalidité.

REFORME SUR LES PLUS-VALUES IMMOBILIÈRES DES PARTICULIERS

Logo_credixiaLe Président de la République, François Hollande, a annoncé lors de l’émission télévisée Capital sur la chaîne M6, diffusée le dimanche 16 juin 2013, des mesures en matière de plus-values immobilières des particuliers afin de redynamiser le marché immobilier.
Il a énoncé :

• que la durée de détention permettant une exonération serait ramenée de 30 à 22 ans,
• qu’un abattement exceptionnel s’appliquerait (25%),
• que ces dispositions s’appliqueraient au plus tard au 1er janvier 2014, avec une possible application dès le 1er septembre 2013.
Cette réforme a pour objectif de fluidifier le marché de l’immobilier, de soutenir l’activité du secteur des travaux dans les logements et de favoriser ainsi une baisse des prix favorable aux accédants à la propriété et aux locataires. Elle est renforcée par un abattement exceptionnel supplémentaire pendant un an, destiné à créer un choc d’offres et à amplifier les effets structurels de la réforme.
Le Ministre du Budget a apporté quelques précisions lors de la séance de questions au gouvernement, au sénat, le 18 juillet 2013. L’administration a modifié le mode de calcul des plus-values immobilières des particuliers pour les cessions réalisées à compter du 1er septembre 2013, avant même le vote et la parution de la loi de finances rectificative pour 2013 et de la loi de finances  pour 2014.
Bercy vient de détailler par instruction (modification du BOFiP en date du 02/08/2013, puis le 09/08/2013), les modifications apportées au calcul des plus-values immobilières des particuliers pour les cessions intervenant à compter du  1er septembre 2013.
Ces modifications ont été apportées au Bulletin Officiel des Finances-Impôts (BOFiP) sans vote d’une loi par le Parlement, qu’en sera-t-il si le texte n’est pas voté par le Parlement, voté dans des termes différents, ou bien censuré par le Conseil constitutionnel ? Même illégales, les dispositions étant publiées au BOFiP, le contribuable ne peut se voir contester leur application pour des opérations réalisées avant le changement de la doctrine administrative.
Ces modalités seront intégrées au projet de loi de finances pour 2014. En complément, conformément aux annonces du Président de la République, les abattements pour durée de détention sur les terrains à bâtir seront supprimés, ce qui réduira l’incitation à la rétention du foncier disponible pour la construction de logements.

CREDIXIA annonce la fin de la Baisse des Taux Fixes

Logo_credixiaAlors que les taux de crédits immobiliers ont atteint de nouveaux planchers en juin 2013 (2.48% sur 15 ans), CREDIXIA anticipe la fin de la baisse des taux « fixes ».  Les taux devraient désormais stagner avant d’entamer une remontée au cours des prochains mois et particulièrement au cours de l’année 2014.
Une des principales raisons, le taux d’intérêt des marchés financiers (OAT 10 ans), utilisé comme référence pour les taux fixes des prêts immobiliers, est passé de 1,67% en mai 2013 à 2,22% le 11 juin 2013. Pour le moment, les établissements bancaires n’ont pas répercuté cette remontée des taux pour soutenir l’activité d’un marché en forte contraction (baisse de la production de crédits de 30% selon l’observatoire du crédit) et parce qu’elles désirent capter une nouvelle clientèle via le produit d’appel que constitue le crédit immobilier.
Dans ce contexte, les taux des crédits ne devraient plus baisser, mais ils devraient rester durablement à des niveaux très bas, sous réserve d’évènements extérieurs en France et en Europe. D’après les analyses de CREDIXIA, le prochain mouvement de taux sera haussier, et devrait s’amorcer au cours des prochains mois et s’accentuer pour l’année 2014.
Cependant, les taux de crédit conservent un niveau historiquement faible. La période est donc plus que jamais favorable pour emprunter ou renégocier son prêt. Toutefois sur le marché de l’immobilier la conjoncture économique est incertaine, pour ceux qui ont un projet immobilier il y a des opportunités à saisir dès maintenant.

Que l’on veuille actuellement acheter ou renégocier, il faut faire jouer la concurrence ! CREDIXIA parvient à négocier auprès de ses banques partenaires, des taux pour les meilleurs profils, à 2.48% sur 15 ans ; 2.90% sur 20 ans ; 3,20 % sur 25 ans et 3,70 % sur 30 ans.

Annonce du plan gouvernemental pour le logement

Logo_credixiaLe Président de la République, François Hollande, a prononcé un discours à Alfortville en date du 21 mars 2013 dans lequel il expose les principales lignes d’un plan en faveur du logement.

Un dossier de presse en date du 21 mars 2013 a été publié par le Ministère en charge du Logement. Voici quelques mesures annoncées notamment pour l’acquisition d’un logement dans le neuf.

 

Acquisition en VEFA : renforcement de la protection de l’acquéreur

« Dans le cadre de la vente en l’état futur d’achèvement (VEFA), la garantie intrinsèque d’achèvement, accordée par le promoteur, ne protège pas suffisamment les acquéreurs.

En effet, en cas de défaillance financière du promoteur, les accédants à la propriété se retrouvent propriétaires d’un chantier inachevé, pour lequel bien souvent ils ont versé plus de fonds que le niveau de réalisation du projet. Des familles se retrouvent ainsi propriétaires d’un début de construction sans avoir les moyens d’en financer l’achèvement.

– Cette garantie intrinsèque va être supprimée. Elle sera remplacée par l’obligation pour le promoteur, pour toutes les opérations de VEFA dans le domaine de l’habitat, de fournir une garantie financière, qui devra, en cas de défaillance du vendeur, apporter les fonds nécessaires à l’achèvement de l’immeuble. »
– La création d’un contrat de « vente en l’état futur de parachèvement » ayant pour but de permettre la vente sur plan d’appartements « prêts à aménager » situés au sein d’immeubles neufs.

Les acquéreurs disposeront de logements clos, couverts avec l’arrivée de tous les fluides. Ils auront la possibilité de concevoir et de réaliser l’aménagement intérieur de leur logement (pose des cloisons, revêtement de sol et des murs, installation de la salle de bains, etc.). »

TVA sur le logement social

« Le taux de TVA sur le logement social sera abaissé à 5%. Cette mesure s’appliquera à toutes les livraisons qui interviendront à compter du 1er janvier 2014.

Cela veut dire que les opérations qui sont déjà lancées, les constructions qui sont en train de se faire bénéficieront du taux de TVA à 5% lorsque les livraisons seront faites, c’est-à-dire l’année prochaine. Cela veut dire aussi que toutes les opérations qui seront lancées dès à présent, qui ne l’étaient pas encore seront au taux de TVA de 5%. »
Cette mesure devrait être incluse dans le projet de loi de finances pour 2014.

Fiscalité des plus-values immobilières

« Le système des abattements sur les plus-values sur les cessions de terrain sera supprimé, de façon à ce que l’incitation soit faite pour libérer le plus possible le terrain dès qu’il y a prise de possession de ces terrains et dès que la vente peut se faire. Nous souhaitons qu’il y ait, nous le verrons dans la loi de finances, des systèmes d’incitation pour aller encore plus loin, pour libérer les terrains tout de suite. »

« Afin de lutter efficacement contre la rétention foncière, il est donc proposé de supprimer tout avantage pour durée de détention des terrains constructibles.
Afin de créer un choc d’offre, la mesure s’appliquerait à toutes les cessions intervenues à compter du 1er janvier 2014 (les plus-values sur des cessions résultant de promesses de vente enregistrées jusqu’au 31 décembre 2013 conserveraient le bénéfice du régime actuel d’abattement).
De même que pour les résidences secondaires, nous devrions reprendre une disposition qui n’a pas été acceptée à ce stade par le Conseil Constitutionnel. Mais nous la reformulerons parce que nous avons besoin qu’il y ait plus de transactions et plus d’activité sur le marché immobilier et que l’incitation soit faite pour libérer tout de suite, pour créer ce choc de confiance sur le marché. »
Il s’agirait ainsi de proposer de nouveau la mesure inscrite initialement dans le projet de loi de finances pour 2013, mais qui était contenu dans le même article que le projet de soumettre la plus-value de cession de terrains à bâtir réalisée à compter de 2015 au barème progressif. Cette dernière disposition ayant été censurée par le Conseil constitutionnel dans sa décision relative à la loi de finances pour 2013 en date du 29 décembre 2012 (Communiqué), l’ensemble de l’article avait été censuré.