CREDIXIA, un business model qui résiste à la crise

Suite à l’annonce de la banque Crédit Agricole du Languedoc de stopper tout partenariat avec les courtiers en crédits immobiliers, nombreux sont ceux à se poser la question de « la survie du métier de courtier en crédit immobilier ». Cette banque juge ne pas réaliser suffisamment de profits estimant travailler uniquement sur son portefeuille clients. Selon elle, les courtiers n’adresseraient que des dossiers de clients et non de prospects. Ils considèrent les intermédiaires sans aucun intérêt, ni bénéfice. Pourtant, 1 dossier sur 3 est financé grâce à l’intervention d’un intermédiaire. Mais alors, comment CREDIXIA, seul courtier à proposer une offre totalement gratuite, même en agence, arrive à proposer un service de qualité au meilleur prix ?  

L’ADN de CREDIXIA : expertise et service de qualité

Dans un secteur très concurrentiel, il est important de se différencier en développant un service au meilleur rapport qualité-prix. En 1999, CREDIXIA est parti de ce constat pour développer son concept : un business-model basé sur la gratuité des honoraires de courtage. L’emprunteur particulier qui réalise sa demande de prêt en ligne ou en agence ne verse aucune somme d’argent à CREDIXIA. Il faut souligner que gratuité ne rime pas avec mauvaise qualité. L’ensemble des collaborateurs de CREDIXIA disposent d’une formation obligatoire pour exercer la profession. Ils sont soumis à des contrôles réguliers et à des formations annuelles. Leur principal objectif est de proposer aux clients une solution de financement, aux meilleurs conditions, grâce à la mise en concurrence des partenaires bancaires. Tout le business-model de CREDIXIA a été pensé pour répondre dans les meilleurs délais à la demande de l’emprunteur. Depuis sa création, CREDIXIA a toujours proposé une offre gratuite, et cette politique s’avère payante puisqu’elle perdure depuis 20 ans et que 65% de son chiffre d’affaires repose sur la recommandation des clients satisfaits.

Une offre 100% digitale …

Pour répondre au mieux aux différentes problématiques posées par les clients, CREDIXIA propose une gamme de services 100% digitaux. Par exemple, via le site www.credixia.com, l’emprunteur dispose de différents simulateurs lui permettant d’obtenir des estimations : capacité d’emprunt, calcul d’un rachat de prêt, frais de notaire, mensualité, etc…. L’objectif est de faciliter les démarches. Sous 24h, le client est en contact avec un conseiller financier qui optimisera le plan de financement pour négocier les meilleurs taux. Pour accélérer la prise de décision, CREDIXIA a développé son propre logiciel propriétaire CRM. Il a été conçu en interne de façon à simplifier et favoriser un gain de temps dans la gestion des dossiers de prêts immobiliers. L’optimisation du traitement des dossiers, la gestion des rendez-vous, le suivi des clients, les échanges avec les partenaires bancaires permettent l’obtention d’un crédit immobilier en un temps record. Par exemple, tous les dossiers sont scannés et envoyés par mail aux établissements bancaires. Cette digitalisation du process permet la réduction des frais postaux. Le digital aide l’humain à prendre les décisions mais le conseiller reste au cœur de l’accompagnement chez CREDIXIA. Face à cette révolution digitale, CREDIXIA reste aux cotés de ses clients. Bien sûr, CREDIXIA reste accessible dans ses cinq agences pour toute demande ou simulation d’un emprunt immobilier.

… Au service de ses clients

CREDIXIA accompagne l’emprunteur quel que soit son profil ou la nature de son projet. Chaque client dispose d’un conseiller dédié qui l’accompagne pendant toute sa démarche de financement. CREDIXIA apporte de la valeur ajoutée au client grâce aux conseils, à l’accompagnement dans le but final de lui dénicher le crédit immobilier le plus compétitif. CREDIXIA se veut d’être un courtier coopératif et durable. La société est engagée auprès de ses clients en leurs proposant une offre personnalisée correspondant à leurs besoins et leur capacité d’emprunt. CREDIXIA a la volonté d’être une entreprise « humaine » en plaçant l’emprunteur au cœur du métier. Le but est d’anticiper ses besoins, y répondre et lui faciliter la vie. A travers cette stratégie, CREDIXIA créé une relation de confiance et de proximité avec ses clients. Il faut souligner que CREDIXIA favorise les valeurs du Made in France ! Indépendante de toute institution financière et sans aucune filiale, plateforme, fonds d’investissement à l’étranger, la société est franco-française.

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Le Monde : Comment emprunter selon la valeur de sa maison

Transformer un bien immobilier en argent liquide sans le vendre est possible grâce au crédit hypothécaire. Mais cette formule reste peu pratiquée.

Très développé en Suisse et dans les pays anglo-saxons, le crédit hypothécaire est rarement utilisé en France et mal connu. Il s’adresse aux propriétaires d’un bien immobilier qu’il s’agisse d’une résidence principale ou pas. La banque, avec l’aide d’un expert immobilier, estime la valeur de la maison ou de l’appartement et prête à la personne entre 50 % et 70 % de cette valeur. Si une maison est estimée à 200 000 euros, l’emprunteur recevra ainsi entre 100 000 et 140 000 euros.

Avec cette somme, le bénéficiaire peut continuer à habiter sa maison tout en payant les études de ses enfants, en voyageant ou encore en réalisant des travaux. Contrairement à un prêt immobilier classique, aucune justification n’est demandée par la banque et le client peut utiliser la trésorerie comme il l’entend. « Nos clients sont souvent des chefs d’entreprises qui ont ponctuellement besoin de dégager de la trésorerie pour injecter dans leur entreprise. Ensuite, ils remboursent la somme prêtée », constate Véronique Bourgadier, directrice du courtier Bourgadier, spécialiste de ce type de prêt.

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AC Franchise : Credixia : ouverture d’une première unité franchisée à Sartrouville

Fondée en 1999, Credixia , société de courtage en crédit immobilier, annonce son démarrage en franchise et inaugure sa toute première adresse dans les Yvelines à Sartrouville.

La particularité de Credixia, réseau spécialiste du crédit immobilier réside dans le fait que les frais de traitement de dossier sont gratuits. Cette offre à 0 euros permet donc à la marque de se démarquer de la concurrence tout en misant également sur les valeurs qu’elle défend fermement, à savoir : la transparence, l’éthique, la qualité de service ainsi que le respect de ses collaborateurs. Après son lancement il y a près de 20 ans, l’enseigne annonce aujourd’hui le début de son développement en franchise en ouvrant sa première implantation adhérente à Sartrouville, dans les Yvelines. Cyril GOURINCHAS, le directeur de l’établissement, explique que la ville de Sartrouville dispose d’une excellence implantation géographique et que l’agence se situe à seulement deux minutes de la gare ; un accès simplifié pour les clients qui travaillent sur Paris et qui souhaiteraient aller à la rencontre des membres de la nouvelle équipe Credixia.

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MySweet’immo : Crédit immobilier : Que se passe t-il en cas de décès ?

Vous vous demandez qui paye le crédit immobilier en cas de décès ? Le courtier en crédits Crédixia apporte des éléments de réponse.Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place d’un crédit immobilier. Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes. Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en respectant les conditions liées au contrat. En effet,certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au créancier. Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

• si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance

• l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)

• l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils acceptent la succession. Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront donc à eux tels que :

• accepter la succession et prendre en charge les dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.accepter la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la suite.

• renoncer à la succession, ce qui entrainera une non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus tenus de rembourser les dettes. Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la couverture entre les emprunteurs.Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux personnes titulaires du prêt.Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête : on parle alors d’une « couverture à 200 % ». Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du paiement de toute échéance à venir. Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

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Fiscal Online : Qui paye le crédit immobilier en cas de décès ?

Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les
établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la
souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place
d’un crédit immobilier.

Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes.
Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le
capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur
le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en
respectant les conditions liées au contrat.

En effet, certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et
ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au
créancier.

Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

  • si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance
  • l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)
  • l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un
professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les
options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté
d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens
immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit
immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera
bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils
acceptent la succession.

Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne
soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se
retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes
par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront
toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront
donc à eux tels que :

  • accepter la succession et prendre en charge les
    dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun
    devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.
  • accepter
    la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront
    pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes
    que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la
    suite.
  • renoncer à la succession, ce qui entrainera une
    non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus
    tenus de rembourser les dettes.

Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement
d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les
proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en
difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la
détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la
couverture entre les emprunteurs.

Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la
quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête
afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque
qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En
effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux
personnes titulaires du prêt.

Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des
co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête :
on parle alors d’une « couverture à 200 % ».

Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par
l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du
paiement de toute échéance à venir.

Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

Lire l’article sur Fiscalonline.com

Qui paye le crédit immobilier en cas de décès ?

Au décès de l’emprunteur, le compte bancaire de ce dernier est automatiquement bloqué par sa banque. Aucune opération bancaire ne pourra être réalisée avant que la succession ne soit réglée. Néanmoins, la banque autorise le paiement des obsèques et le règlement des factures urgentes dans la limite à 5 000 €. Le contexte est différent s’il existe un compte joint car le cotitulaire a toujours accès au compte, mais uniquement pour la moitié des sommes figurant au décès du défunt. Les actifs et passifs du défunt devront faire partie de la succession et être restitués à ses héritiers. Mais que se passe t’il lorsqu’il y a un crédit immobilier ?

Si l’emprunteur avait une assurance décès

Même si elle n’est pas obligatoires les établissements bancaires exigent dans la majorité des cas la souscription d’une assurance décès-invalidité lors de la mise en place d’un crédit immobilier. Cette assurance est une protection pour les deux parties prenantes. Si l’emprunteur possède une assurance décès, la compagnie doit régler le capital restant dû au décès de l’emprunteur, tel qu‘il est indiqué sur le tableau d‘amortissement, et dans la limite du montant garanti, en respectant les conditions liées au contrat. En effet, certaines clauses peuvent annuler la garantie décès, et ainsi obliger les héritiers à rembourser le montant restant au créancier. Nous pouvons prendre l’exemple de trois situations où la compagnie ne remboursera pas la banque :

  • si l’assuré a dépassé l’âge limite stipulé dans le contrat compris entre 65 et 85 selon les compagnies d’assurance
  • l’assuré décède suite à la pratique d’un sport dit à risque (ex : parachutisme)
  • l’assuré décède à la suite d’un suicide

Il est donc extrêmement important d’être conseillé par un professionnel avant de conclure un contrat afin de prendre toutes les options nécessaires pour couvrir le crédit dans sa globalité.

Si l’emprunteur n’avait pas d’assurance décès

Si l’emprunteur n’a pas contracté d’assurance auprès de sa banque, son apport personnel (biens immobiliers, épargne,…) doit servir au remboursement de son crédit immobilier. Le montant restant, après remboursement des créances, sera bien sûr partagé entre ses différents héritiers, sous réserve qu’ils acceptent la succession.

Malheureusement, il peut se trouver que les actifs du défunt ne soient pas suffisant au remboursement des dettes. Les héritiers se retrouveront donc avec des dettes à charge, ne pouvant être couvertes par les biens financiers ou matériels du défunt. Néanmoins, ils pourront toujours se soustraire de cette situation. Plusieurs choix s’offriront donc à eux tels que :

• accepter la succession et prendre en charge les dettes laissées par le défunt. S’il y a plusieurs héritiers, chacun devra y contribuer en fonction de ses droits de succession.

• accepter la succession à concurrence de l’actif net où les héritiers ne seront pas contraints de rembourser les dettes si elles sont plus importantes que ses actifs. L’héritier est toujours libre de changer d’avis par la suite.

• renoncer à la succession, ce qui entrainera une non-réception du patrimoine du défunt et ces derniers ne seront plus tenus de rembourser les dettes.

Quel est l’intérêt de souscrire une assurance emprunteur ?

L’assurance décès permet le versement d’une somme d’argent liée à un crédit en cours, et libère ainsi les proches du défunt d’une éventuelle dette qui pourrait les mettre en difficulté. La souscription d’une assurance emprunteur implique la détermination d’une quotité. Il s’agit de la répartition de la couverture entre les emprunteurs.

Lorsque qu’une personne emprunte seule, la question du choix de la quotité ne se pose pas. La banque exige une quotité de 100 % sur sa tête afin de garantir l’intégralité des sommes prêtées. En revanche, lorsque qu’on emprunte à deux, le choix de la quotité mérite de s’y pencher. En effet, pour des co-emprunteurs, la quotité est divisible entre les deux personnes titulaires du prêt.

Pour bénéficier d’une couverture optimale, la plupart des co-emprunteurs sont invités par la banque à souscrire à 100 % par tête : on parle alors d’une « couverture à 200 % ». Cela signifie qu’en cas de décès, le prêt est entièrement soldé par l’assurance souscrite et le co-emprunteur survivant est libéré du paiement de toute échéance à venir. Choisir une quotité d’assurance de prêt à 200 % est un gage de sécurité et de tranquillité.

Exemple de cas

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