My Sweet’immo : Retraités, futurs retraités… Pourquoi il faut investir dans l’immobilier

Le logement n’est une rente, non pas lorsqu’il constitue la résidence principale ni lorsqu’il est loué, mais plutôt comme un actif protecteur permettant de préparer l’avenir. Henry Buzy-Cazaux, président de l’IMSI

Pour la retraite, l’investissement immobilier demeure une valeur sûre et, plus encore, dans un contexte de taux de crédit immobilier extrêmement bas. Le point avec le courtier CREDIXIA.

Après six semaines de grève, le sujet de la réforme des retraites reste toujours indécis. En plein débat, une certitude perdure, celle de rester prudent et de se préparer un complément de revenus pour ne pas subir une brusque chute à son départ de la vie active. Pour anticiper son départ à la retraite, il existe des opportunités à saisir pour s’assurer une rente mensuelle. Dans cette optique, l’investissement immobilier demeure une valeur sûre et, plus encore, dans un contexte de taux de crédit immobilier extrêmement bas.

Un contexte économique instable

L’inquiétude croissante des Français quant à leur retraite est devenue une finalité majeure des accédants à la propriété et des investisseurs, des plus jeunes, âgés de 20 ou 25 ans, aux plus âgés, au-delà de 55 ans, en passant par les femmes et les hommes au milieu de leur parcours professionnel. Tous reconnaissent deux évidences : n’avoir plus de charge de loyer, ni de remboursement de crédit quand sonne l’heure de la retraite constitue un avantage considérable, même s’il restera les charges d’entretien et la taxe foncière à acquitter. Et, si l’on a pu acheter un bien productif, générateur de revenus fonciers, on obtiendra un complément de revenu appréciable. Les deux solutions cumulées sont de nature à maintenir le train de vie, ou du moins à s’en approcher.

L’investissement immobilier, une opportunité à saisir

Face à la cessation d’activité, le capital que les ménages auront pu constituer, compensera la perte de revenus. Dans ces temps de climat anxiogène, la valeur retraite de l’immobilier résidentiel est reconnue comme un investissement rassurant. Comme l’explique Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du Management des Services Immobiliers, : « le logement n’est une rente, non pas lorsqu’il constitue la résidence principale ni lorsqu’il est loué, mais plutôt comme un actif protecteur permettant de préparer l’avenir ». En effet, l’investissement immobilier permet de se constituer un capital donnant lieu à la perception d’un loyer. En revanche, être propriétaire de son logement principal allège, à long terme, le versement d’un loyer pouvant représenter jusqu’au tiers des revenus.

Travailler plus longtemps pour emprunter plus

Si l’acquisition est signée suffisamment en amont de la fin de carrière professionnelle, sachant que la durée de remboursement d’un crédit immobilier varie entre 15 et 25 ans, dans la plupart des cas, son propriétaire n’aura plus à s’acquitter des mensualités une fois à la retraite. Cela contrebalance la perte de revenus et préserve le pouvoir d’achat pour profiter de son temps libre ! Par ailleurs, l’investissement locatif peut être supporté durant la vie active et, même pendant la retraite si la perception des loyers couvre la mensualité du prêt immobilier. La pierre a en effet cette particularité de s’acheter à crédit, ce qui n’est pas le cas des produits financiers ! Bien sûr, partir plus tardivement en retraite reste un bon moyen de financer son projet en empruntant plus longtemps sans autre contrainte que le coût de l’assurance emprunteur.

Peut-être une nouvelle réforme ?

Il faut ajouter que, conscient de la cherté de l’actif fondamental qu’est le logement principal, les pouvoirs publics eux-mêmes n’excluent pas l’innovation juridique. A la suite du rapport parlementaire rendu par le député de Haute-Garonne Jean-Luc Lagleize, l’Assemblée Nationale a voté le principe de découpler le foncier du bâti, pour permettre aux ménages de n’acquérir que le second, restant locataire du terrain, propriété d’un office foncier libre (OFL). Cette proposition de loi sera-t-elle votée par le Sénat et deviendra-t-elle une loi ? La probabilité est assez forte, les décideurs publics souhaitent que la solvabilité des ménages et le niveau des prix en zones tendues ne se rencontrent pas.

Exemple de cas : Futur retraité, pensez à investir dans l’immobilier !

Généralement, les banques préfèrent que le crédit immobilier soit remboursé avant l’âge de 75 ans. Si l’on prend un remboursement sur 10 ans, il devient donc impossible d’emprunter au-delà de 65 ans. Le frein principal concerne les garanties liées à l’assurance de prêt. Heureusement, le courtier peut trouver des solutions qui permettront à un senior d’emprunter dans les meilleures conditions. Le critère de l’âge n’est pas vraiment un frein à l’étude d’une demande de financement. En effet, il existe sur le marché des assurances emprunteurs qui vont au-delà de ces limites en proposant des couvertures allant jusqu’à 90 ans.

De plus, CREDIXIA travaille avec des partenaires bancaires qui acceptent la souscription d’un crédit immobilier sans garantie, sans assurance, et sans critère d’âge à condition de respecter certaines normes de revenus, de reste à vivre, d’endettement, de ratio hypothécaire, etc… A noter, dès 57 ans, toutes les banques demandent le montant de la pension de retraite future, et retiennent ce montant pour calculer le futur taux endettement et le reste à vivre.

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PAP : Crédit immobilier : les nouvelles conditions pour emprunter

Des taux immobiliers au plus bas, des banques qui assouplissent leurs conditions, une production de prêts qui s’envole… 2019 restera comme l’année des records pour le crédit à l’habitat. 2020 pourrait bien marquer un retournement de tendance, avec une hausse des taux et un resserrement des critères d’octroi. Nos conseils pour tirer parti de cette situation et bien financer votre logement.

2019, une bonne année pour le crédit immobilier ? Et comment ! D’abord, les taux sont tombés à un niveau historiquement bas. Le plancher absolu a été atteint en novembre dernier. A l’époque, la moyenne toutes durées confondues s’est établie à 1,12 % hors assurances (taux brut) selon l’Observatoire Crédit Logement/ CSA. On est loin des 3,21 % de la fin 2012… Et les banques n’ont pas hésité à brader leurs taux pour séduire certains clients. En septembre 2019, le taux brut moyen sur vingt ans s’établissait à 1,15 %. Mais les meilleurs profils décrochaient du 0,55 % !
2019 aura été une année exceptionnelle pour le crédit immobilier et les emprunteurs. En 2020, les taux remontent un peu et les banques durcissent certains critères de prêt. Obtenir un bon financement reste possible si l’on s’informe bien sur les conditions de crédit.

Conditions assouplies. Surtout, les banques ont assoupli leurs critères. Selon Crédit Logement/CSA, les durées de prêt se sont allongées pour culminer à 229 mois au quatrième trimestre 2019 (et même 232 mois en décembre). Le taux d’apport personnel est passé de 25,8 % en 2012 à 14 % en 2019. Environ 12 % des emprunts sont consentis à des acquéreurs n’ayant pas d’apport. Près du quart des emprunteurs consacrent plus de 35 % de leurs revenus à leur mensualité de prêt selon le Haut Conseil de stabilité financière, outrepassant la règle des 33 % (en théorie, la mensualité ne doit pas dépasser le tiers des revenus).

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Retraités, futurs retraités…Pourquoi faut-il investir dans l’immobilier ?

Après six semaines de grève, le sujet de la réforme des retraites reste toujours indécis. En plein débat, une certitude perdure, celle de rester prudent et de se préparer un complément de revenus pour ne pas subir une brusque chute à son départ de la vie active. Pour anticiper son départ à la retraite, il existe des opportunités à saisir pour s’assurer une rente mensuelle. Dans cette optique, l’investissement immobilier demeure une valeur sûre et, plus encore, dans un contexte de taux de crédit immobilier extrêmement bas.

Un contexte économique instable

L’inquiétude croissante des Français quant à leur retraite est devenue une finalité majeure des accédants à la propriété et des investisseurs, des plus jeunes, âgés de 20 ou 25 ans, aux plus âgés, au-delà de 55 ans, en passant par les femmes et les hommes au milieu de leur parcours professionnel. Tous reconnaissent deux évidences : n’avoir plus de charge de loyer, ni de remboursement de crédit quand sonne l’heure de la retraite constitue un avantage considérable, même s’il restera les charges d’entretien et la taxe foncière à acquitter. Et, si l’on a pu acheter un bien productif, générateur de revenus fonciers, on obtiendra un complément de revenu appréciable. Les deux solutions cumulées sont de nature à maintenir le train de vie, ou du moins à s’en approcher.

L’investissement immobilier, une opportunité à saisir

Face à la cessation d’activité, le capital que les ménages auront pu constituer, compensera la perte de revenus. Dans ces temps de climat anxiogène, la valeur retraite de l’immobilier résidentiel est reconnue comme un investissement rassurant. Comme l’explique Henry Buzy-Cazaux, président de l’Institut du Management des Services Immobiliers « le logement n’est une rente, non pas lorsqu’il constitue la résidence principale ni lorsqu’il est loué, mais plutôt comme un actif protecteur permettant de préparer l’avenir ». En effet, l’investissement immobilier permet de se constituer un capital donnant lieu à la perception d’un loyer. En revanche, être propriétaire de son logement principal allège, à long terme, le versement d’un loyer pouvant représenter jusqu’au tiers des revenus.

Travailler plus longtemps pour emprunter plus

Si l’acquisition est signée suffisamment en amont de la fin de carrière professionnelle, sachant que la durée de remboursement d’un crédit immobilier varie entre 15 et 25 ans, dans la plupart des cas, son propriétaire n’aura plus à s’acquitter des mensualités une fois à la retraite. Cela contrebalance la perte de revenus et préserve le pouvoir d’achat pour profiter de son temps libre ! Par ailleurs, l’investissement locatif peut être supporté durant la vie active et, même pendant la retraite si la perception des loyers couvre la mensualité du prêt immobilier. La pierre a en effet cette particularité de s’acheter à crédit, ce qui n’est pas la cas des produits financiers ! Bien sûr, partir plus tardivement en retraite reste un bon moyen de financer son projet en empruntant plus longtemps sans autre contrainte que le coût de l’assurance emprunteur.

Peut-être une nouvelle réforme ?

Il faut ajouter que, conscient de la cherté de l’actif fondamental qu’est le logement principal, les pouvoirs publics eux-mêmes n’excluent pas l’innovation juridique. A la suite du rapport parlementaire rendu par le député de Haute-Garonne Jean-Luc Lagleize, l’Assemblée Nationale a voté le principe de découpler le foncier du bâti, pour permettre aux ménages de n’acquérir que le second, restant locataire du terrain, propriété d’un office foncier libre (OFL). Cette proposition de loi sera-t-elle votée par le Sénat et deviendra-t-elle une loi ? La probabilité est assez forte, les décideurs publics souhaitent que la solvabilité des ménages et le niveau des prix en zones tendues ne se rencontrent pas.

Exemple de cas : Futur retraité, pensez à investir dans l’immobilier !

Généralement, les banques préfèrent que le crédit immobilier soit remboursé avant l’âge de 75 ans. Si l’on prend un remboursement sur 10 ans, il devient donc impossible d’emprunter au-delà de 65 ans. Le frein principal concerne les garanties liées à l’assurance de prêt. Heureusement, le courtier peut trouver des solutions qui permettront à un senior d’emprunter dans les meilleures conditions. Le critère de l’âge n’est pas vraiment un frein  à l’étude d’une demande de financement.

En effet, il existe sur le marché des assurances emprunteurs qui vont au-delà de ces limites en proposant des couvertures allant jusqu’à 90 ans.
De plus, CREDIXIA travaille avec des partenaires bancaires qui acceptent la souscription d’un crédit immobilier sans garantie, sans assurance, et sans critère d’âge à condition de respecter certaines normes de revenus, de reste à vivre, d’endettement, de ratio hypothécaire, etc… A noter, dès 57 ans, toutes les banques demandent le montant de la pension de retraite future, et retiennent ce montant  pour calculer le futur taux endettement et le reste à vivre.

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Esteval : Gérer son crédit immobilier en 10 étapes

Vous souhaitez acheter un logement ? Comme la majorité des Français, vous allez sûrement devoir souscrire un crédit immobilier auprès d’une banque pour réaliser votre acquisition. Voici les 10 étapes à suivre pour décrocher ce précieux sésame.Avant de demander un prêt immobilier, commencez par évaluer combien vous pourrez prétendre emprunter pour choisir votre logement en fonction. Puis, une fois qu’un bien vous intéresse, signez un compromis de vente. Ce document pourra se révéler précieux en cas de refus de prêt.

1/ Signer le compromis de vente

Après avoir fait votre choix sur le futur bien à acquérir, proposez une offre. Si celle-ci est acceptée, un compromis de vente sera rédigé. Un compromis de vente est un contrat unissant vendeur et acheteur qui s’engagent à conclure la vente et l’achat du bien immobilier. Ce document stipule une condition suspensive indiquant le délai maximum d’obtention du prêt immobilier. Cette clause s’étend de 30 à 60 jours, avec en moyenne une durée de 45 jours. Si le crédit n’est pas obtenu passé ce délai, la promesse de vente s’annule après avoir informé le vendeur des raisons du refus bancaire. Un petit conseil, avant de signer un compromis, il est important d’évaluer votre capacité d’emprunt auprès d’une banque ou d’un courtier. Cela vous permettra d’estimer la fourchette de prix des biens visités.

2/ Rechercher le crédit immobilier répondant à vos besoins

Vous avez signé un compromis. Vous devez maintenant trouver un crédit immobilier. Deux solutions s’offrent à vous, soit faire le tour des banques et comparer les différentes offres ou faire appel à un courtier en crédit immobilier qui négocie pour vous auprès de ses banques partenaires.

Si vous choisissez de faire les démarches seul, prenez les rendez-vous en amont afin de ne pas perdre trop de temps, celui-ci est compté. Si vous optez pour le courtier, commencez par utiliser les comparateurs en ligne il vous accompagnera du montage du dossier, de la négociation du taux, de l’optimisation un plan de financement jusqu’à la signature chez le notaire. Son rôle est de simplifier la recherche de financement et favoriser un gain de temps dans la gestion de votre dossier auprès des banques.

3/ Négocier la proposition

Que ce soit avec l’aide d’un courtier ou par vous-même, vous avez la possibilité de négocier les offres bancaires. En mettant en place une stratégie de concurrence entre les banques, vous aurez l’opportunité de faire baisser les taux ou encore les frais de dossier. Sachez qu’en passant par Credixia, les frais de dossier sont offerts aux particuliers. Credixia propose actuellement un taux à 1% sur 25 ans. Le courtier est un très bon moyen de réaliser des économies sur votre crédit immobilier.

4/ Créer votre dossier

Une fois l’établissement de crédit choisi, vous devez monter un dossier de demande de prêt immobilier. Il faudra fournir à minima les 3 derniers bulletins de salaire, les 2 derniers avis d’imposition, le compromis de vente, un justificatif de domicile, le(s) justificatif(s) d’identité et les 3 derniers relevés de compte en banque. Plus votre dossier sera complet, et plus vous obtiendrez rapidement votre accord de crédit immobilier. Si vous faites appel à un courtier, il vous aide à monter votre dossier et se charge de la présentation commerciale (taux du prêt, délégation d’assurance, contreparties,…) pour mettre en avant les atouts de votre profil et négocier au mieux toutes les conditions. Dans tous les cas, apportez vos originaux lors de chaque rendez-vous.

5/ Discuter avec la banque

Une fois l’établissement bancaire choisi, le dossier remis et les expertises financières réalisées, la banque décide d’accepter ou non votre demande de prêt immobilier. Pour acheter votre bien immobilier, il vous faut l’accord de la banque. Cela s’appelle l’accord de principe. Si votre dossier est accepté par la banque, il vous sera demandé, dans la majorité des cas, une ouverture de compte avec domiciliation des revenus.

6/ Recevoir l’offre de prêt immobilier

L’offre de prêt est un document récapitulant l’ensemble des modalités relatives au crédit immobilier qui sera souscrit. Elle vous sera transmise par courrier simple à votre domicile.

7/ Laisser un temps de réflexion

Après réception de votre offre de prêt, vous bénéficiez d’un délai de 10 jours minimum de réflexion. Durant ce laps de temps, il vous est toujours possible d’annuler votre demande de crédit immobilier. Toutefois, ne tardez pas à renvoyer l’offre si vous êtes d’accord avec les conditions, car celle-ci a une durée de validité de 30 jours.

8/ Accepter l’offre de la banque

Pour accepter définitivement l’offre de prêt immobilier, vous devrez la retourner signée, par courrier, à votre banque, impérativement après le délai de réflexion achevé (à compter du 11e jour). Si vous renvoyez l’offre de prêt trop tôt, celle-ci s’annule automatiquement et il faudra reprendre le processus depuis le début.

9/ Signer l’acte de vente

Désormais, vous pouvez signer votre acte de vente à tout moment. Ce contrat doit être obligatoirement signé auprès d’un notaire. Une fois l’acte signé, vous devenez officiellement propriétaire du bien et, vous recevrez votre titre de propriété peu de temps après. La visite du logement avant la signature chez le notaire est conseillée. Elle vous permet de vérifier que le bien correspond parfaitement à celui que vous avez visité quelques mois auparavant.

10/ Rembourser vos mensualités

Vous êtes à présent propriétaire de votre bien. Un mois après l’acquisition et la signature de l’acte de vente, vous commencerez à rembourser vos premières mensualités définies par le taux du crédit ainsi que celui de l’assurance.

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Le Dauphine : Les 10 étapes pour obtenir un crédit immobilier

Cité dans le dauphine, Le Républicain Lorrain, DNA, le Vosges Matin, le Progrès, et le Bien Public.

Vous souhaitez acheter un logement ? Comme la majorité des Français, vous allez sûrement devoir souscrire un crédit immobilier auprès d’une banque pour réaliser votre acquisition. Voici les 10 étapes à suivre pour décrocher ce précieux sésame.

1 : Évaluez votre capacité d’emprunt

Avant de vous lancer dans des recherches et de parcourir les annonces immobilières, il est conseillé d’évaluer votre capacité d’emprunt auprès d’une banque ou d’un courtier en prêt immobilier.

Vous pourrez ainsi visiter des biens qui entrent dans votre budget. A lire aussi

2 : Signez un compromis de vente

Vous avez trouvé le logement qui vous correspond ? Faites une offre au vendeur. Si elle est acceptée, un compromis de vente sera rédigé. Cet avant-contrat, qui unit vendeur et acheteur, n’est pas obligatoire mais fortement recommandé.

Chacun s’engage à conclure la vente et l’achat du bien immobilier. Il permet d’éviter les mauvaises surprises avant la signature de l’acte définitif devant le notaire.

Le compromis de vente contient des conditions suspensives dont certaines sont légalement prévues. Par exemple, dans le cadre d’un achat financé par un emprunt, la vente n’a lieu que si l’acquéreur obtient son prêt.

Cette clause s’étend de 30 à 60 jours, avec en moyenne une durée de 45 jours. Si le crédit n’est pas obtenu passé ce délai, la promesse de vente s’annule donc, après avoir informé le vendeur des raisons du refus bancaire.

3 : Recherchez le crédit immobilier répondant à vos besoins

Vous avez signé un compromis de vente. Il vous faut maintenant trouver un crédit immobilier !

Deux solutions s’offrent à vous : faire le tour des banques et comparer les différentes offres ou faire appel à un courtier. Celui-ci va se charger de négocier pour vous votre crédit auprès de ses banques partenaires.

Si vous choisissez de faire les démarches seul, prenez les rendez-vous en amont afin de ne pas perdre trop de temps.

4 : Négociez la proposition de crédit

Que ce soit avec l’aide d’un courtier ou par vous-même, vous avez la possibilité de négocier les offres bancaires.

En mettant en place une stratégie de concurrence entre les banques, vous aurez l’opportunité de faire baisser les taux de crédit ou encore les frais de dossier.

5 : Créez votre dossier

Une fois l’établissement de crédit choisi, vous devez monter un dossier de demande de prêt immobilier.

Il faut fournir à la banque vos trois derniers bulletins de salaire, les deux derniers avis d’imposition, le compromis de vente, un justificatif de domicile, un justificatif d’identité et les trois derniers relevés de compte en banque. Plus votre dossier sera complet, et plus vous obtiendrez rapidement votre accord de crédit immobilier.

Si vous faites appel à un courtier, il vous aidera à monter votre dossier et se chargera de la présentation commerciale : taux du prêt, choix de l’assurance emprunteur (délégation d’assurance ou assurance groupe)… 

6 : Obtenez l’accord de la banque

Après avoir reçu votre dossier, la banque décidera d’accepter ou non votre demande de prêt immobilier. Elle vous délivrera un accord de principe, si elle souhaite financer votre projet.

Elle vous demandera une ouverture de compte avec domiciliation de vos revenus pour le remboursement du prêt.

Vous devrez remplir un questionnaire sur vos antécédents de santé, etc., pour la souscription de l’assurance emprunteur.

7 : Recevez l’offre de prêt immobilier

L’offre de prêt est un document récapitulant l’ensemble des modalités relatives au crédit immobilier que vous allez souscrire. Elle vous sera transmise par courrier simple à votre domicile.

8 : Laissez-vous un temps de réflexion

Après réception de votre offre de prêt, vous bénéficierez d’un délai de dix jours minimum de réflexion.

Durant ce laps de temps, il vous sera toujours possible d’annuler votre demande de crédit immobilier.

Toutefois, ne tardez pas à renvoyer l’offre si vous êtes d’accord avec les conditions, car celle-ci a une durée de validité de 30 jours. Mais attention…

9 : Acceptez l’offre de la banque

Pour accepter définitivement l’offre de prêt, vous devrez la retourner signée, par courrier, à votre banque impérativement après le délai de réflexion achevé (à compter du 11e jour).

Si vous renvoyez l’offre de prêt trop tôt, celle-ci s’annulera automatiquement et il faudra reprendre le processus depuis le début.

10 : Signez l’acte de vente

Une fois l’offre acceptée, vous pourrez signer l’acte de vente, obligatoirement chez un notaire, pour devenir officiellement propriétaire du bien. Vous recevrez votre titre de propriété peu de temps après.

Un mois après l’acquisition et la signature de l’acte de vente, vous commencerez à rembourser vos premières mensualités définies par le taux du crédit et celui de l’assurance emprunteur.

Avec l’aide du courtier en prêt immobilier Credixia

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10 étapes pour faire son crédit immobilier

Vous souhaitez devenir propriétaire mais vous manquez d’informations relatives au financement de ce projet ? La plupart du temps une acquisition immobilière est financée par la souscription d’un emprunt immobilier. CREDIXIA décrypte pour vous les différentes étapes à mettre en place afin de démarrer vos démarches du bon pied.

1-Signer le compromis de vente

Après avoir fait votre choix sur le futur bien à acquérir, proposez une offre. Si celle-ci est acceptée, un compromis de vente sera rédigé. Un compromis de vente est un contrat unissant vendeur et acheteur où chacun s’engagent à conclure la vente et l’achat du bien immobilier. Ce document stipule une condition suspensive indiquant le délai maximum d’obtention du prêt immobilier. Cette clause s’étend de 30 à 60 jours, avec en moyenne une durée de 45 jours. Si le crédit n’est pas obtenu passé ce délai, la promesse de vente s’annule après avoir informé le vendeur des raisons du refus bancaire. Un petit conseil, avant de signer un compromis, il est important d’évaluer votre capacité d’emprunt auprès d’une banque ou d’un courtier. Cela vous permettra d’estimer la fourchette de prix des biens visités.

2-Rechercher le crédit immobilier répondant à vos besoins

Vous avez signé un compromis. Vous devez maintenant trouver un crédit immobilier. Deux solutions s’offrent à vous, soit faire le tour des banques et comparer les différentes offres ou faire appel à un courtier en crédit immobilier qui négocie pour vous auprès de ses banques partenaires. Si vous choisissez de faire les démarches seul, prenez les rendez-vous en amont afin de ne pas perdre trop de temps, celui-ci est compté. Si vous optez pour le courtier, commencez par utiliser les comparateurs en ligne il vous accompagnera du montage du dossier, de la négociation du taux, de l’optimisation un plan de financement jusqu’à la signature chez le notaire. Son rôle est de simplifier la recherche de financement et favoriser un gain de temps dans la gestion de votre dossier auprès des banques.

3-Négocier la proposition

Que ce soit avec l’aide d’un courtier ou par vous-même, vous avez la possibilité de négocier les offres bancaires. En mettant en place une stratégie de concurrence entre les banques, vous aurez l’opportunité de faire baisser les taux ou encore les frais de dossier. Sachez qu’en passant par CREDIXIA, les frais de dossier sont offerts aux particuliers. CREDIXIA propose actuellement un taux à 1% sur 25 ans. Le courtier est un très bon moyen de réaliser des économies sur votre crédit immobilier.

4-Créer votre dossier

Une fois l’établissement de crédit choisi, vous devez monter un dossier de demande de prêt immobilier. Il faudra fournir à minima les 3 derniers bulletins de salaire, les 2 derniers avis d’imposition, le compromis de vente, un justificatif de domicile, le(s) justificatif(s) d’identité et les 3 derniers relevés de compte en banque. Plus votre dossier sera complet, et plus vous obtiendrez rapidement votre accord de crédit immobilier. Si vous faites appel à un courtier, il vous aide à monter votre dossier et se charge de la présentation commerciale (taux du prêt, délégation d’assurance, contreparties,….) pour mettre en avant les atouts de votre profil et négocier au mieux toutes les conditions. Dans tous les cas, apportez vos originaux lors de chaque rendez-vous.

5-Discuter avec la banque

Une fois l’établissement bancaire choisi, le dossier remis et les expertises financières réalisées, la banque décide d’accepter ou non votre demande de prêt immobilier. Pour acheter votre bien immobilier, il vous faut l’accord de la banque. Cela s’appelle l’accord de principe. Si votre dossier est accepté par la banque, il vous sera demandé, dans la majorité des cas, une ouverture de compte avec domiciliation des revenus.

6-Recevoir l’offre de prêt immobilier

L’offre de prêt est un document récapitulant l’ensemble des modalités relatives au crédit immobilier qui sera souscrit. Elle vous sera transmise par courrier simple à votre domicile.

7-Laisser un temps de réflexion

Après réception de votre offre de prêt, vous bénéficiez d’un délai de dix jours minimum de réflexion. Durant ce laps de temps, il vous est toujours possible d’annuler votre demande de crédit immobilier. Toutefois, ne tardez pas à renvoyer l’offre si vous êtes d’accord avec les conditions, car celle-ci a une durée de validité de 30 jours.

8-Accepter l’offre de la banque

Pour accepter définitivement l’offre de prêt immobilier, vous devrez la retourner signée, par courrier, à votre banque, impérativement après le délai de réflexion achevé (à compter du 11e jour). Si vous renvoyez l’offre de prêt trop tôt, celle-ci s’annule automatiquement et il faudra reprendre le processus depuis le début.

9-Signer l’acte de vente

Désormais, vous pouvez signer votre acte de vente à tout moment. Ce contrat doit être obligatoirement signé auprès d’un notaire. Une fois l’acte signé, vous devenez officiellement propriétaire du bien et, vous recevrez votre titre de propriété peu de temps après. La visite du logement avant la signature chez le notaire est conseillée. Elle vous permet de vérifier que le bien correspond parfaitement à celui que vous avez visité quelques mois auparavant.

10-Rembourser vos mensualités

Vous êtes à présent propriétaire de votre bien. Un mois après l’acquisition et la signature de l’acte de vente, vous commencerez à rembourser vos premières mensualités définies par le taux du crédit ainsi que celui de l’assurance.

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