France transactions : Crédit immobilier : nouvelle alerte émise par l’ACPR, les crédits octroyés ne tiennent pas compte de la valeur des biens financés

Les Français s’endettent lourdement, sur des durées de plus en plus longues, afin de financer leurs biens immobiliers. La bulle immobilière continue ainsi d’être alimentée, des prix sur-évalués. L’ACPR souligne une nouvelle fois que les banques ne tiennent pas compte de la valeur du bien financé lors de l’octroi de crédit. Le risque pour les banques serait de se retrouver avec trop de clients endettés à très long terme, ayant des actifs immobiliers dévalués.

Chaque mois livre son taux record sur les crédits immobiliers. En ce mois de juillet, le taux de crédit immobilier le plus faible octroyé auprès du courtier en crédits Credixia est de 0.85% sur 25 ans (hors assurance), pour un montant de 200.000€.

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My Sweet’Immo : Crédit immobilier : empruntez à un taux record (et fixe) de 0,85% sur 25 ans

Selon l’Observatoire Crédit Logement CSA, les taux des crédits immobiliers sont tombés en moyenne à 1,25 % en juin. Avec un bon courtier, vous pouvez bénéficier d’un taux à 0,85% sur 25 ans. Nous vous expliquons pourquoi vous avez tout intérêt à emprunter sur cette durée.

Ce taux exceptionnellement bas a été obtenu pour un couple de trentenaire, primo-accédants, qui achète une résidence principale dans Paris (15e arrondissement). Le couple dispose d’un apport personnel couvrant les frais de notaire, les frais de garantie et les frais d’agence, et d’un revenu annuel de 100 000 €. Bonne nouvelle : ce taux devrait devenir la norme pour tout type d’emprunteur si les conditions d’emprunt d’Etat restent si faibles.

D’où provient cette baisse des taux ?

Avec une concurrence de plus en plus féroce entre les banques, les établissements bancaires profitent des taux extrêmement bas pour attirer les nouveaux clients grâce au crédit immobilier. Elle s’assurent ainsi de conserver leurs clients sur une longue durée puisqu’il est peu probable qu’avec des taux aussi bas, les emprunteurs soit en mesure de renégocier leurs crédits auprès de la concurrence. Grâce à cette relation, les banques rentabiliseront leurs investissements à moyen terme grâce à la vente de produits annexes : ouverture de compte épargne, moyens de paiement, assurance habitation, etc…Les banques n’ont pas d’intérêt à augmenter les taux trop rapidement car le crédit immobilier reste la meilleure façon de proposer une offre concurrentielle ayant de la valeur.

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Le Républicain Lorrain : Crédit immobilier : des taux toujours très bas

Les taux des crédits immobiliers accordés aux particuliers sont tombés en moyenne à 1,25 % en juin (hors assurance), selon un récent observatoire1. Un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980.

Au 2e trimestre 2019, les taux des crédits immobiliers ont atteint un niveau historiquement bas, d’après une étude publiée en juillet1. En juin 2019, ils se sont établis en moyenne à 1,25 % (hors assurances), soit un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980. Ils restent sous l’inflation depuis juin 2018, une situation inédite.

0,85 % sur 25 ans !

En juin 2019, il a été possible d’emprunter en moyenne à un taux de 0,99 % sur 15 ans, de 1,17 % sur 20 ans et de 1,39 % sur 25 ans. En juillet, un couple de primo-accédants trentenaires a obtenu un taux exceptionnel de 0,85 % (hors assurance) sur une durée de 25 ans, d’après un courtier en prêt immobilier2, pour l’achat d’une résidence principale dans le XVe arrondissement de Paris. Ce couple disposait d’un apport personnel couvrant les frais de notaire, les frais de garantie et les frais d’agence, ainsi que d’un revenu annuel de 100 000 euros. Selon ce courtier, ce taux devrait devenir la norme pour tout type d’emprunteur si les conditions d’emprunt d’Etat restent si faibles.

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Le Progrès.fr : Crédit immobilier : des taux toujours très bas

Les taux des crédits immobiliers accordés aux particuliers sont tombés en moyenne à 1,25 % en juin (hors assurance), selon un récent observatoire1. Un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980.

Au 2e trimestre 2019, les taux des crédits immobiliers ont atteint un niveau historiquement bas, d’après une étude publiée en juillet1. En juin 2019, ils se sont établis en moyenne à 1,25 % (hors assurances), soit un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980. Ils restent sous l’inflation depuis juin 2018, une situation inédite.

0,85 % sur 25 ans !

En juin 2019, il a été possible d’emprunter en moyenne à un taux de 0,99 % sur 15 ans, de 1,17 % sur 20 ans et de 1,39 % sur 25 ans. En juillet, un couple de primo-accédants trentenaires a obtenu un taux exceptionnel de 0,85 % (hors assurance) sur une durée de 25 ans, d’après un courtier en prêt immobilier2, pour l’achat d’une résidence principale dans le XVe arrondissement de Paris. Ce couple disposait d’un apport personnel couvrant les frais de notaire, les frais de garantie et les frais d’agence, ainsi que d’un revenu annuel de 100 000 euros. Selon ce courtier, ce taux devrait devenir la norme pour tout type d’emprunteur si les conditions d’emprunt d’Etat restent si faibles.

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Le journal de Saône et Loire : Crédit immobilier : des taux toujours très bas

Les taux des crédits immobiliers accordés aux particuliers sont tombés en moyenne à 1,25 % en juin (hors assurance), selon un récent observatoire1. Un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980.

Au 2e trimestre 2019, les taux des crédits immobiliers ont atteint un niveau historiquement bas, d’après une étude publiée en juillet1. En juin 2019, ils se sont établis en moyenne à 1,25 % (hors assurances), soit un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980. Ils restent sous l’inflation depuis juin 2018, une situation inédite.

0,85 % sur 25 ans !

En juin 2019, il a été possible d’emprunter en moyenne à un taux de 0,99 % sur 15 ans, de 1,17 % sur 20 ans et de 1,39 % sur 25 ans. En juillet, un couple de primo-accédants trentenaires a obtenu un taux exceptionnel de 0,85 % (hors assurance) sur une durée de 25 ans, d’après un courtier en prêt immobilier2, pour l’achat d’une résidence principale dans le XVe arrondissement de Paris. Ce couple disposait d’un apport personnel couvrant les frais de notaire, les frais de garantie et les frais d’agence, ainsi que d’un revenu annuel de 100 000 euros. Selon ce courtier, ce taux devrait devenir la norme pour tout type d’emprunteur si les conditions d’emprunt d’Etat restent si faibles.

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L’Est Républicain : Crédit immobilier : des taux toujours très bas

Les taux des crédits immobiliers accordés aux particuliers sont tombés en moyenne à 1,25 % en juin (hors assurance), selon un récent observatoire1. Un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980.

Au 2e trimestre 2019, les taux des crédits immobiliers ont atteint un niveau historiquement bas, d’après une étude publiée en juillet1. En juin 2019, ils se sont établis en moyenne à 1,25 % (hors assurances), soit un niveau 4,5 fois inférieur à celui du début des années 2000 et 11 fois moins élevé qu’à la fin des années 1980.Ils restent sous l’inflation depuis juin 2018, une situation inédite.0,85 % sur 25 ans ! En juin 2019, il a été possible d’emprunter en moyenne à un taux de 0,99 % sur 15 ans, de 1,17 % sur 20 ans et de 1,39 % sur 25 ans. En juillet, un couple de primo-accédants trentenaires a obtenu un taux exceptionnel de 0,85 % (hors assurance) sur une durée de 25 ans, d’après un courtier en prêt immobilier2, pour l’achat d’une résidence principale dans le XVe arrondissement de Paris. Ce couple disposait d’un apport personnel couvrant les frais de notaire, les frais de garantie et les frais d’agence, ainsi que d’un revenu annuel de 100 000 euros. Selon ce courtier, ce taux devrait devenir la norme pour tout type d’emprunteur si les conditions d’emprunt d’Etat restent si faibles.

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