Quels travaux peut-on inclure dans un prêt immobilier ?

L’acquisition d’un bien immobilier s’accompagne souvent de travaux, qu’il s’agisse de rénovation, d’agrandissement ou d’amélioration de la performance énergétique. Mais saviez-vous qu’il est possible d’inclure le coût de ces travaux directement dans votre prêt immobilier ? 

Il s’agit d’une option intéressante qui présente de nombreux avantages à condition de respecter certains critères d’éligibilité. Découvrez ici les différents travaux qui peuvent être financés par votre crédit immobilier.

Les avantages à inclure les travaux dans un prêt immobilier

Intégrer le montant des travaux dans votre prêt immobilier peut s’avérer judicieux à plus d’un titre. Tout d’abord, vous bénéficiez du taux d’intérêt de votre prêt immobilier, plus avantageux que ceux des prêts à la consommation classiques. 

Ensuite, vous profitez d’une durée de remboursement plus longue (jusqu’à 25 ans) et étalez ainsi vos dépenses dans le temps, ce qui réduit vos mensualités. Enfin, vous n’avez pas besoin de souscrire à plusieurs crédits, simplifiant ainsi vos démarches et vous permettant de réaliser des économies sur le coût total de votre financement.

Les différents travaux éligibles à un prêt immobilier

Voici une liste des travaux qui peuvent être soutenus par votre prêt immobilier. 

  • Travaux de rénovation et de réhabilitation 

Les travaux de rénovation et de réhabilitation figurent parmi les plus fréquemment financés par un prêt immobilier. Il peut s’agir de gros œuvre (fondations, murs porteurs, charpente), de réfection de toiture, de travaux d’isolation (murs, combles, fenêtres) ou encore de remplacement de menuiseries. Ces interventions lourdes et coûteuses trouvent tout leur sens dans un financement global de votre projet immobilier.

  • Travaux d’extension et d’agrandissement du bien immobilier

Vous souhaitez agrandir votre logement en créant une extension ou en aménageant des combles ? Ces travaux d’envergure peuvent également être pris en charge par votre prêt immobilier. Vous bénéficierez ainsi d’une solution pratique pour financer en une seule fois l’achat de votre bien et son agrandissement, et ce sans avoir à jongler entre différents crédits.

  • Travaux d’amélioration de la performance énergétique

Les travaux visant à améliorer la performance énergétique des logements ont désormais le vent en poupe. Isolation thermique, installation de panneaux solaires, remplacement d’un ancien système de chauffage par un modèle plus économe… Différentes dépenses peuvent être couvertes par votre crédit immobilier. Vous valorisez ainsi votre patrimoine tout en réalisant des économies sur le long terme.

  • Travaux d’installation d’équipements durables 

Le remplacement d’équipements vétustes ou énergivores par des modèles plus durables peut représenter un investissement conséquent. Qu’il s’agisse d’une nouvelle chaudière, d’un chauffe-eau solaire ou d’un système de récupération d’eau de pluie, ces installations peuvent être financées par votre prêt immobilier. Une façon de moderniser votre logement en limitant l’impact sur votre budget.

  • Travaux de mise en conformité 

Rénover un bien ancien implique souvent une mise aux normes des installations électriques, de plomberie ou d’assainissement. Ces travaux sont indispensables pour la sécurité et le confort qui peuvent légitimement être intégrés à votre plan de financement global. Votre banque sera d’autant plus encline à les accepter qu’ils contribuent à pérenniser votre investissement immobilier.

  • Travaux d’aménagement intérieur 

Les aménagements intérieurs font également partie des travaux finançables par un prêt immobilier. Il peut s’agir entre autres d’une nouvelle cuisine équipée ou encore une salle de bain refaite à neuf. Si ces interventions relèvent davantage de l’embellissement que de la rénovation pure, elles peuvent sous certaines conditions être prises en compte par votre banque.

Les conditions à respecter pour inclure des travaux dans un prêt immobilier

Afin que votre banque donne son feu vert lors de votre processus de prêt immobilier, les travaux doivent concerner le bien immobilier que vous financez. Il serait inutile donc d’espérer rénover votre résidence secondaire en incluant les frais dans le prêt de votre résidence principale. 

Ensuite, le montant des travaux ne doit généralement pas excéder 10 % du coût total de l’opération. Au-delà, votre banque pourrait considérer qu’il s’agit d’un projet de rénovation à part entière et vous orienter vers un prêt travaux dédié. D’un autre côté, les travaux doivent impérativement être réalisés par des professionnels avec factures et devis à l’appui. 

Les banques sont intraitables sur ce point qui vise à garantir la qualité des interventions et à éviter les mauvaises surprises. Oubliez donc l’idée de faire financer votre projet de bricolage du dimanche !

Enfin, pour que votre banque intègre les travaux à votre plan de financement, il est indispensable de les chiffrer précisément en amont. En effet, il ne sera pas question de partir sur de vagues estimations ou de découvrir des surcoûts en cours de route. Ainsi, votre conseiller bancaire attendra de vous un budget travaux détaillé et réaliste pour valider votre dossier.

Les alternatives pour financer des travaux non éligibles au prêt immobilier

Vous avez beau retourner la question dans tous les sens, certains de vos travaux ne correspondent pas aux critères d’éligibilité de votre prêt immobilier ? Pas de panique, il existe d’autres solutions pour financer vos projets sans vider votre bas de laine.

La première option qui s’offre à vous est le prêt travaux, aussi appelé crédit à la consommation affecté. Comme son nom l’indique, ce type de prêt est dédié au financement de travaux spécifiques et peut compléter avantageusement votre prêt immobilier principal. 

Concrètement, vous pouvez y avoir recours pour financer des aménagements extérieurs (terrasse, piscine, clôture), des travaux de décoration ou encore l’achat d’électroménager non encastrable. Si vous préférez éviter de multiplier les crédits, vous pouvez également opter pour un prêt personnel sans justificatif d’utilisation des fonds. 

Cette option a l’avantage d’offrir une grande liberté dans l’affectation de l’argent emprunté. En effet, ce dernier peut être utilisé aussi bien pour vos travaux que pour votre projet de voyage autour du monde. Toutefois, ce type de prêt propose des taux d’intérêt généralement plus élevés qu’un prêt immobilier classique. 

Par ailleurs, vous pouvez prétendre aux aides et subventions spécifiques en fonction de la nature de vos travaux. Ces dispositifs peuvent vous permettre de financer une partie de vos travaux à moindre coût, qu’il s’agisse de : 

  • l’éco-PTZ pour des travaux de rénovation énergétique,
  • MaPrimeRénov pour l’amélioration de la performance thermique de votre logement, 
  • ou encore des aides de l’Anah pour l’adaptation de votre habitat au vieillissement.

Enfin, n’oubliez pas de faire appel à votre apport personnel et à votre épargne disponible pour financer les travaux qui ne rentrent pas dans les cases de votre prêt immobilier. 

Certes, cela implique de puiser dans vos réserves, mais c’est aussi un moyen de limiter votre endettement et de garder une marge de manœuvre financière. Travailler avec un partenaire fiable comme CREDIXIA vous sera également d’une grande utilité pour obtenir rapidement votre prêt !

 

Avez-vous droit à un PAS (Prêt Accession Sociale) ?

Devenir propriétaire de son logement est un rêve partagé par de nombreux Français. Cependant, pour les ménages aux revenus modestes, l’accession à la propriété peut sembler hors de portée. C’est là qu’intervient le Prêt Accession Sociale (PAS), un dispositif méconnu qui peut pourtant ouvrir les portes de votre futur chez vous. Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce prêt immobilier pas comme les autres et sur les différentes conditions pour en bénéficier.

Qu’est-ce que le Prêt Accession Sociale (PAS) ?

Plus communément appelé PAS, le Prêt Accession Sociale est un prêt immobilier réglementé par l’État et destiné à favoriser l’accession à la propriété des ménages aux revenus modestes. Accordé par les banques ayant signé une convention avec l’État, il présente des caractéristiques avantageuses par rapport à un prêt immobilier classique.

En effet, le PAS peut financer jusqu’à 100% de votre projet immobilier, qu’il s’agisse de l’achat d’un logement neuf ou ancien, de la construction d’une maison ou encore de travaux d’amélioration. De plus, son taux d’intérêt est plafonné et les frais de dossier sont réduits. Aussi, est-il possible de le combiner avec d’autres prêts aidés comme le Prêt à Taux Zéro (PTZ) ou le prêt Action Logement pour optimiser votre financement.

Plus intéressant encore, vous pouvez bénéficier de l’Aide Personnalisée au Logement (APL) qui allégera vos mensualités. Un vrai coup de pouce pour concrétiser votre projet immobilier en douceur !

Quelles sont différentes conditions d’éligibilité au PAS ? 

Pour prétendre au Prêt Accession Sociale, vous devez remplir plusieurs conditions. La première concerne vos ressources qui ne doivent pas dépasser un certain plafond, fixé en fonction de la composition de votre foyer et de la zone géographique où se situe le bien convoité (A, B1, B2, C). 

Par exemple, pour un couple avec un enfant souhaitant acheter en zone B1, le revenu fiscal de référence ne doit pas excéder 51 000 € en 2023. Ces plafonds étant révisés chaque année, n’hésitez pas à vous renseigner sur les barèmes en vigueur au moment de votre projet.

Une autre condition incontournable est relative au logement financé qui doit impérativement devenir votre résidence principale. Et ce, dans un délai d’un an suivant l’achat ou la fin des travaux. Des dérogations existent toutefois si vous êtes contraint de louer temporairement pour des raisons professionnelles ou familiales.

Côté démarches, rien de bien compliqué. En effet, il vous suffit de vous rapprocher d’une banque habilitée à proposer le PAS et de constituer votre dossier avec les pièces justificatives habituelles (pièce d’identité, avis d’imposition, promesse de vente…).  Ensuite, votre conseiller étudiera votre situation et vous proposera une offre de prêt adaptée.

Alors, êtes-vous éligible au Prêt Accession Sociale ? Si c’est le cas, n’hésitez pas à vous lancer ! Ce coup de pouce de l’État peut faire toute la différence pour concrétiser votre rêve de devenir propriétaire. 

Quels sont les avantages du Prêt Accession Sociale ? 

Accordé par les banques ayant signé une convention avec l’État, le PAS présente de nombreux avantages et représente ainsi un véritable atout pour les ménages aux revenus faibles.

Un financement généreux

Premier atout, et non des moindres, le PAS permet de couvrir jusqu’à 100 % du coût total du projet immobilier si l’emprunteur ne dispose pas d’apport personnel. Cette caractéristique est particulièrement séduisante pour ceux qui peinent à économiser suffisamment pour franchir le seuil de la propriété. De plus, le prêt peut être étendu sur une durée allant jusqu’à 3 ans. Ce qui offre ainsi des mensualités plus légères et adaptées aux capacités de remboursement de l’emprunteur.

Des taux d’intérêt plafonnés

L’un des principaux avantages du PAS réside également dans ses taux d’intérêt qui sont régulièrement ajustés et plafonnés par l’État. Cette spécificité garantit aux bénéficiaires des conditions de financement plus stables et souvent plus avantageuses que celles du marché libre. En outre, le prêt peut être à taux fixe ou variable. Cela offre ainsi une certaine flexibilité selon les préférences de l’emprunteur.

Une porte ouverte à d’autres aides

Le PAS ne s’arrête pas là. Il ouvre également droit à l’Aide Personnalisée au Logement (APL) pour les acquisitions dans l’ancien en zone C. Qui plus est, il peut être cumulé avec d’autres prêts aidés comme le Prêt à Taux Zéro (PTZ) ou le prêt Action Logement. Cette possibilité de cumul est un levier puissant pour réduire davantage le coût total de l’opération.

D’un autre côté, les frais liés à la mise en place du prêt sont plafonnés et les frais de notaire se voient réduits. Ces économies supplémentaires peuvent représenter une somme non négligeable pour les ménages aux budgets serrés.

Comment obtenir un PAS ?

Convaincu par les nombreux avantages du Prêt Accession Sociale ? Voici les étapes à suivre pour en bénéficier.

Vérifier son éligibilité

La première étape consiste à vérifier si vous remplissez les conditions d’éligibilité au PAS. Les principaux critères sont annoncés plus haut. 

Pour vous assurer de votre éligibilité, n’hésitez pas à consulter les plafonds de ressources en vigueur et à vous rapprocher d’un conseiller bancaire spécialisé.

Monter son dossier de demande

Une fois votre éligibilité confirmée, il vous faut monter votre dossier de demande de PAS. Pour cela, rassemblez les pièces justificatives suivantes :

  • Pièce d’identité,
  • Avis d’imposition des deux dernières années,
  • Compromis de vente ou contrat de construction,
  • Justificatifs de revenus (fiches de paie, contrat de travail…),
  • Plan de financement prévisionnel.
  • Devis des travaux le cas échéant,

Votre conseiller bancaire vous guidera dans la constitution de votre dossier et pourra vous demander des pièces complémentaires si besoin.

Obtenir son offre de prêt

Votre dossier complet sera ensuite étudié par la banque qui vérifiera votre solvabilité et la faisabilité de votre projet. Si tout est en ordre, vous recevrez une offre de prêt détaillant les caractéristiques de votre PAS : montant, taux d’intérêt, durée, mensualités, assurances…

Prenez le temps de lire attentivement cette offre et n’hésitez pas à poser toutes vos questions à votre conseiller. Si les conditions vous conviennent, il ne vous restera plus qu’à signer votre contrat de prêt et à concrétiser votre projet immobilier !

Quelques inconvénients du Prêt Accession Sociale

Le Prêt Accession Sociale, bien qu’avantageux pour les ménages aux revenus modestes souhaitant accéder à la propriété, présente certains inconvénients non négligeables. Premièrement, l’obligation de résider dans le bien pendant au moins six ans après l’acquisition limite la flexibilité des emprunteurs.

De plus, la nécessité de garantir le prêt par une hypothèque entraine des frais de mainlevée en cas de vente du bien avant la fin du prêt et peut s’avérer coûteuse. 

Par ailleurs, bien que plafonné, le taux d’intérêt du PAS reste considéré comme élevé pour certains emprunteurs, ce qui limite ainsi son attractivité. Enfin, la complexité des conditions d’éligibilité et la documentation requise peuvent décourager les potentiels bénéficiaires. 

Pourquoi faire appel à CREDIXIA pour son PAS ?

Indépendante de toute institution financière depuis 1999, la société de courtage CREDIXIA s’érige en véritable pilier pour les aspirants propriétaires. En sollicitant leurs services pour votre Prêt Accession Sociale (PAS), vous bénéficiez d’une expertise reconnue et d’une assistance personnalisée. 

En effet, les experts de CREDIXIA s’engagent à dénicher pour vous les conditions de prêt les plus avantageuses en négociant des taux d’intérêt compétitifs. Avec une offre unique de frais de dossier, la société se positionne comme un partenaire de choix pour les primo-accédants et tous ceux qui cherchent à optimiser leur financement immobilier.

Simulation défiscalisation loi Pinel : Optimisez votre investissement immobilier en 2024

En matière de fiscalité immobilière, la loi Pinel se dresse comme un phare pour les investisseurs en quête de réductions d’impôts. Depuis sa mise en place en 2014, ce dispositif a séduit de nombreux contribuables désireux de se lancer dans l’aventure de l’investissement locatif.

Et bonne nouvelle, le dispositif Pinel est prolongé jusqu’au  31/12/ 2024, offrant une dernière ligne droite aux investisseurs pour en profiter. Mais avant de se jeter à l’eau, une étape cruciale s’impose : la simulation. Paramètre déterminant de la défiscalisation, la simulation Pinel permet d’évaluer avec précision les avantages fiscaux et la rentabilité de votre projet. Décryptons ensemble les principes de la loi Pinel et des étapes clés d’une simulation réussie, avec un focus sur les nouveautés Pinel + et Pinel + 2024.

Comprendre les principes de la loi Pinel et ses évolutions

Avant de faire une simulation, il est essentiel de comprendre les rouages de la loi Pinel et ses récentes évolutions. Le dispositif offre une réduction d’impôt sur le revenu pour l’achat d’un logement neuf destiné à la location. Le montant de la réduction varie selon la durée de l’engagement locatif : 12% pour 6 ans, 18% pour 9 ans et 21% pour 12 ans.

Mais En 2023, le dispositif Pinel a connu une première évolution avec le Pinel +. Ce nouveau volet impose des critères plus stricts en termes de qualité et de performance énergétique des logements, en contrepartie d’une réduction d’impôt bonifiée. Ainsi, pour les investissements réalisés en 2023, la réduction d’impôt passe à 15% pour 6 ans, 21% pour 9 ans et 24% pour 12 ans, sous réserve de respecter les nouvelles normes environnementales.

En 2024, une nouvelle version du dispositif verra le jour : le Pinel + 2024. Les contours exacts de ce nouveau volet ne sont pas encore connus. Cela dit, il devrait s’inscrire dans la continuité du Pinel + en renforçant encore les exigences de performance énergétique des logements éligibles. De quoi encourager la construction de logements plus respectueux de l’environnement. Revois le tout !

« Le dispositif de réduction d’impôt dit « Pinel » s’applique aux opérations réalisées entre le 1er septembre 2014 et le 31 décembre 2024 dans les zones tendues (zones A, A bis et B1) et dans les communes couvertes par un Contrat de redynamisation de site de défense actif (CRSD). La réduction d’impôt correspond à un taux variable en fonction de la durée de l’engagement de location. Ces taux seront progressivement réduits en 2023 et 2024, sauf pour les logements entrant dans le cadre du dispositif dit « Pinel + » : situés dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (territoires urbains considérés comme prioritaires au regard de leur situation socio-économique, par exemple, avec un fort taux de chômage notamment) ;
ou qui respectent un niveau de performance énergétique élevé.

Les conditions du Pinel Plus

La loi Pinel 2024 fonctionne de la même manière que l’ancien dispositif Pinel, avec quelques critères supplémentaires :

Le bien est acquis neuf ou en VEFA ;

il se situe dans un quartier prioritaire de la politique des villes (actuellement les zones éligibles sont les zones A bis, A et B1) ;
l’engagement locatif initial est de 6 ou 9 ans, renouvelable avec une limite de 12 ans ;
le loyer respecte des plafonds mensuels, fixés selon la zone géographique ;
les locataires doivent justifier de ressources inférieures aux plafonds en vigueur. »

Bien sûr, pour bénéficier des avantages fiscaux du Pinel, plusieurs autres conditions sont à respecter. Le logement doit se situer dans une zone éligible, classée A, A bis, B1 ou, sous certaines conditions, B2. Il doit aussi respecter des plafonds de loyer et de ressources du locataire fixés par décret.

Enfin, l’investissement est plafonné à 300 000 € par an et à deux logements par foyer fiscal. Autant de paramètres à prendre en compte dans votre simulation.

Les étapes clés d’une simulation Pinel

Place maintenant au cœur du sujet : la simulation de votre investissement Pinel. La première étape consiste à définir votre projet en vous posant les bonnes questions. Quel budget, quelle localisation, quel type de bien ? N’oubliez pas de prendre en compte les nouvelles exigences du Pinel + et du Pinel + 2024 dans vos critères de choix.

Ces éléments impacteront directement le montant de votre réduction d’impôt et la rentabilité de votre investissement. Une fois votre projet défini, passez aux calculs. Estimez le montant de votre investissement en incluant le prix d’achat du bien et les frais annexes (notaire, assurance, etc.). Évaluez ensuite les loyers potentiels en fonction des plafonds Pinel et du marché locatif local.

Muni de ces données, calculez votre réduction d’impôt en fonction de la durée de location choisie et des spécificités du Pinel + ou du Pinel + 2024 si vous y êtes éligible. N’oubliez pas de prendre en compte le plafonnement des niches fiscales. Pour finir, estimez la rentabilité globale de l’opération en intégrant les loyers perçus, les charges locatives et les éventuels frais de gestion.

Les outils pour réaliser une simulation Pinel

Pour vous aider dans cette étape indispensable, de nombreux outils sont à votre disposition. Simulateurs en ligne, publics ou privés, ils vous permettront d’affiner vos calculs et de comparer différents scénarios d’investissement. Ces précieux alliés vous permettront d’estimer rapidement votre réduction d’impôt potentielle et de tester différents scénarios d’investissement.

Et tout ceci, en intégrant les spécificités du Pinel + et du Pinel + 2024. Mais attention, tous les simulateurs ne se valent pas. Privilégiez ceux qui prennent en compte un maximum de paramètres (zone géographique, type de bien, plafonds de loyer et de ressources des locataires, critères de performance énergétique…) pour obtenir un résultat au plus proche de la réalité.

N’hésitez pas non plus à solliciter l’expertise d’un professionnel. Armé de vos simulations et de ses conseils avisés, vous pourrez affiner votre stratégie. Ce qui vous aidera à faire les meilleurs choix pour optimiser votre investissement Pinel.

Comment interpréter les résultats d’une simulation Pinel ?

Vous avez réalisé votre simulation Pinel et les résultats s’affichent sous vos yeux.

Mais comment décrypter tous ces chiffres et indicateurs ?

Pas de panique, on vous guide. Concentrez-vous d’abord sur les éléments clés comme :

  • Le Montant de votre réduction d’impôt ;
  • Le rendement locatif prévisionnel ;
  • et le coût total de votre opération.

Comparez ensuite ces données pour différents scénarios (durée de location, prix d’achat, niveau de loyer, éligibilité au Pinel + ou au Pinel + 2024…).

Cela vous permettra d’identifier les leviers d’optimisation. Surtout, n’oubliez pas de mettre ces chiffres en perspective avec votre situation fiscale et patrimoniale globale. Une réduction d’impôt alléchante sur le papier peut vite perdre de son attrait si elle ne correspond pas à vos besoins réels.

Par ailleurs, gardez à l’esprit que ces simulations reposent sur des hypothèses et des projections qui peuvent évoluer dans le temps. En particulier, avec les changements réglementaires liés au Pinel + et au Pinel + 2024. Les résultats obtenus sont donc à prendre comme des estimations et non comme des garanties. C’est pourquoi il est essentiel de les actualiser régulièrement, à chaque étape de votre projet, pour vérifier que vous restez sur la bonne voie.

Enfin, n’hésitez pas à vous faire épauler par un expert pour analyser finement vos simulations et en tirer les meilleures conclusions. Son regard affûté et sa connaissance des évolutions réglementaires seront de précieux atouts pour sécuriser votre investissement.

Simulation défiscalisation loi Pinel : Pourquoi faire appel à CREDIXIA ?

CREDIXIA  est un guide de confiance pour les investisseurs en quête d’optimisation fiscale. Depuis 1999, ce courtier en prêt immobilier met son expertise au service des particuliers désireux de s’engager dans l’aventure de la loi Pinel. Avec une offre de frais de courtage accessible pour tous les projets, CREDIXIA facilite l’accès à ce dispositif avantageux.

Mais au-delà de cet aspect financier, c’est surtout l’accompagnement personnalisé qui fait la force de la société. En effet, elle propose des équipes d’experts qui vous guideront pas à pas dans votre simulation Pinel. Notez que celle-ci intégrera bien évidemment les spécificités du Pinel + et du Pinel + 2024.

Dans cette mission, ils prennent en compte tous les paramètres clés. La zone géographique, le type de bien, les plafonds de loyer et de ressources ainsi que les critères de performance énergétique.

Grâce à leur connaissance fine du marché immobilier, de la fiscalité et des évolutions réglementaires, ils vous aident à construire une stratégie d’investissement sur-mesure pour un maximum d’économies d’impôts et de rentabilité locative. Avec CREDIXIA à vos côtés, la défiscalisation Pinel n’aura plus de secrets pour vous.

Les points de vigilance et conseils

Alors prêts pour la défiscalisation Pinel ? Avant de vous lancer, il est crucial de bien comprendre les rouages de ce dispositif, ses récentes évolutions avec le Pinel + et le Pinel + 2024. Vous devez aussi réaliser une simulation précise.

Mais attention, sachez qu’une simulation réussie ne garantit pas un investissement sans embuche . Pour éviter les mauvaises surprises, veillez notamment à respecter scrupuleusement les conditions de plafonds de loyers et de ressources des locataires, ainsi que les critères de performance énergétique si vous visez le Pinel + ou le Pinel + 2024.

Sinon, vous risqueriez de perdre le bénéfice de la réduction d’impôt. Anticipez également une éventuelle vacance locative dans vos calculs, car même avec une simulation optimiste, la réalité du marché locatif peut réserver des surprises pas toujours bonnes !

N’oubliez pas non plus que devenir propriétaire bailleur implique des contraintes de gestion au quotidien : entretien du bien, relation avec les locataires, déclarations fiscales… Un aspect à ne pas négliger dans votre réflexion.

Enfin, gardez à l’esprit que la loi Pinel arrive dans sa dernière ligne droite. Si le Pinel + est prolongé jusqu’à fin 2024, il est probable que le dispositif s’éteigne ensuite progressivement. C’est donc le moment ou jamais de profiter de cette opportunité de défiscalisation, en étant bien accompagné pour faire les bons choix.

Avec une simulation Pinel bien menée, en phase avec les évolutions du dispositif, et les conseils avisés d’un expert comme CREDIXIA, vous mettrez toutes les chances de votre côté pour réussir votre investissement locatif et booster votre patrimoine.

Quelle est la meilleure assurance pour un prêt immobilier en 2024 ?

Vous avez un projet immobilier et vous vous préparez à souscrire un prêt immobilier ? Avant de vous lancer, sachez que vous ne devez pas négliger l’assurance emprunteur liée au prêt immobilier.. Ce contrat vous protège vous et votre famille en cas de coup dur. Ceci dit, avec la multitude d’offres sur le marché, comment choisir la meilleure assurance pour votre prêt immobilier en 2024 ? Pour vous aider, nous vous proposons quelques conseils pour faire le bon choix et optimiser votre couverture.

Comprendre les enjeux de l’assurance emprunteur

L’assurance emprunteur est un contrat qui vous couvre en cas de décès, d’invalidité ou de perte d’emploi. Elle permet de garantir le remboursement de votre prêt immobilier si vous n’êtes plus en mesure de le faire. Il s’agit d’une protection essentielle pour vous et vos proches. Elle évite que votre famille ne se retrouve dans une situation financière délicate.

Mais l’assurance emprunteur est aussi un enjeu financier important. Son coût peut représenter une part significative du coût total de votre crédit. Il est donc très important de bien la choisir pour ne pas alourdir inutilement vos mensualités. Heureusement, depuis la loi Lagarde de 2010 et la loi Hamon de 2014, vous avez le droit de choisir librement votre assurance. Vous n’êtes donc plus obligé de souscrire le contrat groupe proposé par votre banque.

Les critères pour choisir la meilleure assurance emprunteur

Pour trouver la meilleure assurance pour votre prêt immobilier, vous devez évaluer plusieurs critères. Le premier est bien sûr le prix. Comparez donc les tarifs proposés par différents assureurs pour trouver le contrat le plus avantageux. Mais attention, le prix ne doit pas être votre seul critère de choix. Vous devez également regarder les garanties proposées et les conditions de couverture.

Assurez-vous que le contrat couvre bien les risques dont vous avez besoin. Les garanties décès et PTIA (perte totale et irréversible d’autonomie) sont indispensables. Mais vous pouvez aussi avoir besoin d’une couverture invalidité, incapacité ou perte d’emploi. En réalité, tout dépend de votre situation personnelle et professionnelle. Soyez vigilants sur les délais de franchise ainsi qu’aux exclusions de garantie. Certains contrats peuvent exclure certaines pathologies ou sports à risque. La banque sera regardante sur les garanties du contrat d’assurance, l’assurance si elle vous protège, minimise le risque de la banque.

Les avantages de la délégation d’assurance

Pour trouver la meilleure assurance pour votre prêt immobilier, il faut aussi penser à la délégation d’assurance. Cette opération consiste à choisir un autre contrat que celui proposé par votre banque. Vous pouvez ainsi faire jouer la concurrence et trouver une offre plus avantageuse. Les contrats individuels sont souvent moins chers et plus adaptés aux besoins que les contrats groupe des banques.

Mais notez que, pour que votre délégation d’assurance soit acceptée, elle doit respecter le principe d’équivalence de garanties. Votre nouveau contrat devra offrir des garanties au moins équivalentes à celles du contrat groupe de votre banque. Sinon, celle-ci est en droit de refuser votre délégation. Pensez à bien comparer les contrats sur tous les aspects avant de faire votre choix.

Les nouvelles opportunités en 2024

En 2024, de nouvelles opportunités s’offrent à vous pour optimiser votre assurance emprunteur. Depuis la loi Lemoine de 2022, vous pouvez résilier votre contrat d’assurance à tout moment. Ce qui change : Pour les offres de prêt signées au 01/06/2022, les nouveaux emprunteurs peuvent changer d’assurance emprunteur à fout moment, sans frais. Pour les offres de prêt signées au 01/09/2022, les emprunteurs ayant déjà souscrit une assurance ont la possibilité de changer de contrat à la date de leur choix.

C’est une excellente nouvelle si vous avez déjà souscrit un prêt immobilier et que vous souhaitez faire des économies.

Vous pouvez ainsi faire jouer la concurrence et trouver une meilleure offre d’assurance, même en cours de prêt. N’hésitez pas à remettre régulièrement la contrat en question pour voir s’il est toujours le plus avantageux. Les tarifs et les garanties évoluent assez vite et vous pouvez peut-être trouver mieux ailleurs. Aussi, pensez à adapter votre couverture si votre situation personnelle ou professionnelle change.

Les pièges à éviter

Il faut rester vigilant, car la recherche de la meilleure assurance pour votre prêt immobilier peut aussi cacher quelques pièges. Le premier est de se focaliser uniquement sur le prix en ignorant les garanties. Un contrat peu cher mais qui ne vous couvre pas suffisamment ne vous servira à rien en cas de problème. Prenez le temps de bien lire les conditions générales et de vérifier que le contrat répond à vos besoins.

Autre piège à éviter : ne pas déclarer certaines informations à l’assureur. Il est important que vous puissiez être transparent sur votre état de santé et antécédents médicaux. Si vous omettez de déclarer quelque chose, vous risquez de voir votre contrat résilié ou vos indemnités refusées en cas de sinistre. Soyez honnête, même si cela peut faire augmenter un peu votre prime d’assurance. C’est le prix de la tranquillité.

L’accompagnement de CREDIXIA

Chez CREDIXIA, nous sommes conscients que le choix de l’assurance emprunteur peut être complexe et stressant. Raison pour laquelle nous mettons notre expertise à votre service pour vous aider à trouver la meilleure offre de prêt immobilier. Nous analysons en profondeur votre situation personnelle et vos besoins pour vous proposer des contrats sur-mesure, au meilleur prix.

Nous travaillons avec de nombreux assureurs de renom pour vous offrir un large choix de garanties. Nous vous aidons à comparer les offres et à choisir celle qui vous convient le mieux.

Nous vous accompagnons aussi dans toutes les démarches administratives, de la souscription du contrat à la gestion des sinistres. Avec CREDIXIA, vous avez la garantie d’une assurance emprunteur optimale et d’un accompagnement personnalisé tout au long de votre prêt.

Les questions à se poser avant de choisir

Pour trouver la meilleure assurance pour votre prêt immobilier, voici les questions clés à vous poser :

  • Quels sont mes besoins en termes de garanties (décès, invalidité, perte d’emploi…) ?
  • Quel est mon budget pour l’assurance emprunteur ?
  • Ai-je des antécédents médicaux ou des risques particuliers à assurer ?
  • Quelle est la durée de mon prêt et de mon assurance ?
  • Ai-je la possibilité de déléguer mon assurance à un autre organisme que ma banque ?
  • Mon contrat est-il adapté à ma situation personnelle et professionnelle ?
  • Ai-je bien lu et compris les conditions générales du contrat ?

En répondant honnêtement à ces questions, vous pourrez orienter votre recherche et trouver l’assurance emprunteur la plus adaptée à votre profil et à votre projet immobilier.

Les tendances pour 2024

En 2024, on peut s’attendre à de nombreuses tendances sur le marché de l’assurance emprunteur. Tout d’abord, la concurrence devrait encore s’intensifier entre les assureurs, ce qui devrait tirer les prix vers le bas. Une bonne nouvelle pour les emprunteurs qui pourront bénéficier de tarifs plus avantageux.

Ensuite, on devrait voir se développer de plus en plus de contrats personnalisables, avec des garanties à la carte. Les assureurs devront s’adapter aux nouveaux modes de vie et de travail des emprunteurs, avec par exemple des garanties spécifiques pour les travailleurs indépendants ou les professions à risque.

Enfin, la digitalisation devrait continuer à transformer le secteur de l’assurance emprunteur. Les processus de souscription et de gestion des contrats devraient être de plus en plus dématérialisés et automatisés. Les emprunteurs pourront ainsi gagner en simplicité et en rapidité dans leurs démarches.

Les conseils pour bien s’assurer en 2024

Pour bien vous assurer en 2024, voici quelques conseils pratiques :

  • Anticipez votre recherche d’assurance dès le début de votre projet immobilier
  • Faites jouer la concurrence en comparant plusieurs offres d’assurance
  • Négociez avec votre banque pour obtenir une délégation d’assurance
  • Adaptez votre couverture à votre situation personnelle et professionnelle
  • Soyez transparent sur votre état de santé pour éviter les mauvaises surprises
  • Pensez à réévaluer régulièrement votre contrat pour voir s’il est toujours compétitif
  • Faites-vous accompagner par un professionnel comme Credixia pour trouver la meilleure offre

En suivant ces conseils et en choisissant la bonne assurance emprunteur, vous pourrez concrétiser votre projet immobilier en toute sérénité. Vous serez protégé en cas de coup dur et vous pourrez profiter pleinement de votre nouveau bien.

COMMENT RENEGOCIER SON ASSURANCE EMPRUNTEUR ?

Votre banquier que vous connaissez depuis longtemps a été rapide sur votre dossier de prêt immobilier et vous avez eu un super taux de crédit mais vous n’avez pas prêté attention à l’assurance liée au prêt. Votre conseiller qui vous connait bien vous avait précisé que la mise en place était rapide et simple et que les couvertures étaient satisfaisantes.

C’est en recevant un courrier de l’assurance qui vous informait de la date anniversaire de votre contrat avec la possibilité de le reconduire qui vous a poussé à vous replonger dans vos documents. Et là vous prenez conscience que votre assurance est très chère !

Renégocier son assurance emprunteur 

Renégocier son assurance prêt permet de réaliser des économies et de négocier de nouvelles garanties.

La protection des intérêts des emprunteurs est au cœur de la préoccupation des législateurs. Des lois successives ont permis d’assouplir les possibilités de choisir et de changer vos contrats d’assurance.

  • LOI LAGARDE en vigueur en 2010 permet aux émetteurs de choisir son contrat d’assurance emprunteur en respectant les équivalences de la banque prêteuse.
  • LOI HAMON promulguée en 2014 autorise le changement d’assurance à n’importe quel moment la première année qui suit la souscription de son crédit immobilier. L’emprunteur doit informer sa banque au plus tard 15 jours avant la date anniversaire en respectant les équivalences de la banque prêteuse.
  • LOI BOURQUIN appelée aussi loi SAPIN 2 de 2017 permet de résilier son assurance chaque année à la date anniversaire du contrat.
  • LOI LEMOINE de 2022 autorise désormais la résiliation à tout moment de vos contrats d’assurance, sans délais et sans préavis, sans frais, ni pénalités.

Plus vite vous renégociez, plus les économies seront importantes.

A présent que nous vous vu que vous pouviez changer d’assurance rappelons quelles sont les garanties comprises dans les contrats, car comme précisé, il faudra que votre nouveau contrat d’assurance soit en équivalence de garanties de votre contrat d’assurance emprunteur actuel. 

Les garanties d’un contrat d’assurance emprunteur

Le socle pour tous les contrats sont

  • DECES en cas de décès l’assureur remboursera le prêt de la banque selon la quotité choisie si il y a pluralité des emprunteurs.
  • PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autotomie). Cette garantie est liée à la garantie décès. La perte totale et irréversible d’autonomie est une invalidité physique ou mentale dans le cas d’un accident ou d’une maladie qui touche l’assuré l’empêchant d’exercer toute activité professionnelle et qui a recours à une tierce personne pour exercer les actes essentiels de la vie, dans ce cas-là, la compagnie d’assurance remboursera le capital restant qui est dû, toujours selon la quotité de couverture de l’assuré.

Pour une résidence principale, l’assurance emprunteur liée au prêt les garanties d’invalidité et d’incapacité de travail seront exigées.

  • IPT L’Invalidité Permanente et Totale) correspond à l’impossibilité d’exercer une activité professionnelle à la suite d’un accident ou d’une infection. L’IPT est un niveau d’invalidité important, cette invalidité est prise en charge après l’analyse de l’état de santé de l’assuré si son incapacité est supérieure à 66% du taux d’invalidité pour la garantie IPT.
  • ITT La garantie ITT (Incapacité Temporaire de travail) correspond à la période d’arrêt de travail qui met l’assuré dans la situation temporaire d’incapacité de continuer son activité professionnelle. L’assureur prend en charge seulement le remboursement des mensualités dues durant la période d’ITT.
  • IPP La garantie IPP (Invalidité Permanente et Partielle) fonctionne comme l’IPT (L’Invalidité Permanente et Totale), cependant la prise en charge change au niveau du taux, l’assurance emprunteur débute à 33% au lieu de 66%, cette garantie apporte une meilleure garantie. L’assureur prend en charge une partie des mensualités du remboursement restant, toujours selon la quotité de couverture de l’assuré.
  • En complément vous pourrez souscrire une assurance perte d’emploi.

Qu’est ce que l’équivalence des garanties ?

Avant de renégocier votre assurance emprunteur vérifier les garanties de votre contrat actuel. La banque prêteuse ne baissera pas son risque et vous devrez avoir au minimum les mêmes garanties que votre contrat actuel. L’unique motif accepté et non amendable pour refuser une demande de changement d’assurance emprunteur est le non-respect de cette seule contrainte.

De plus vous ne pourrez pas baisser les quotités, mais vous aurez la possibilité de les augmenter si vous le souhaitez.

Pour vous aider à y voir plus clair et avoir des devis et contrats sans passer par toutes les compagnies, interrogez CREDIXIA, courtier depuis 1999 qui saura vous trouver l’assurance emprunteur qui vous conviendra, le tout en vous faisant gagner quelques milliers d’euros.

Quand renégocier son assurance de prêt ?

Comme vu plus haut, plus vous renégociez vite plus vous serez gagnants.

Tout d’abord rapprochez-vous de votre assureur actuel même si ils sont peu enclins à renégocier leur propre contrat groupe. Toutefois certaines ont des délégations internes moins onéreuses.

Si cela ne vous convient pas, alors cherchez un contrat d’assurance individuel qui remplacera votre contrat groupe.

Avant de renégocier votre assurance de prêt sachez que vous aurez certains frais :

Les frais de dossiers du nouveau contrat

Les frais d’adhésion à l’association des assureurs

Les frais de courtage

Avant de renégocier votre assurance emprunteur pesez-vous les questions suivantes :

  1. Votre âge à la date de la nouvelle souscription. Moins on est jeune plus le cout est important.
  2. Quel est votre état de santé? Si vous avez eu depuis la conscription de votre contrat, un problème de santé, renseignez-vous avant de souscrire un nouveau contrat en demandant une étude médicale. Les examens médicaux seront pris en charge par l’assureur, même si vous ne souscrivez pas à leur contrat.                                                                                                  Si l’assuré était fumeur, il peut après deux ans d’arrêt, en apportant la preuve de bénéficier d’un nouveau tarif moindre. Le risque étant minimisé pour la compagnie.
  3. Sport à risque?  Si vous ne pratiquez plus ce style de sport, votre contrat aura un moindre cout.

4 . Métier à risques ?  Comme dans la vie personnelle, la vie professionnelle est importante pour l’assureur et calculer son tarif sur son risque. Un policier à cause du port d’arme peut avoir un tarif important et une garantie comme l’IPT où il peut être exclut.

Comme vous pouvez le constater tout est important, sans penser au cout tarifaire mais à la prise en charge et remboursement en cas de sinistre grave qui pourrait avoir des conséquences désastreuses dans votre quotidien.

Important, ne pas clôturer son contrat avant d’avoir souscrit un nouveau contrat avec les conditions générales et particulières que votre banque étudiera. Alors si le contrat est accepté par la banque, vous pourrez adresser un courrier en recommandé avec AR de déliaison de votre contrat accompagné du nouveau contrat avec les conditions particulières et générales.

Les démarches de négociation de son prêt immobilier

Etude et comparaison :

Il faut commencer par comparer les compagnies, soit en demandant à plusieurs d’entre elles de vous faire des devis, sois en passant par un courtier qui sera vous décortiquer les garanties, il  vous trouvera le meilleur prix. Habitué aux exigences de ses partenaires bancaires, il connait toutes les exigences et les équivalences demandées.

Pour vous accompagner, contactez CREDIXIA au 01 85 56 22 34 ou allez sur notre site  https://www.credixia.com pour que nous rappelions à votre guise. Un conseiller vous contactera dans les 24 heures.

Souscription du contrat d’assurance :

Il faut toujours vous assurer avant de clôturer votre contrat, il vous faut donc passer par la souscription avec les conditions générales et particulières du nouveau contrat.

Transmission du contrat à votre banque :

Vous devez transmettre le nouveau contrat : à savoir les conditions générales particulières et les délégations prouvant que vous êtes accepté par la compagnie. Idéalement adressez le tout en recommandé avec accusé de réception avec un courrier manuscrit de demande de résiliation de votre contrat d’assurance emprunteur actuel.

Pour rappel : la banque n’a pas le droit de refuser le contrat d’assurance emprunteur si

1 Les garanties sont équivalentes

  1. Le niveau de couverture est égal à l’accord initial de la banque
  2. Aucun frais ne vous sera demandé ni pas la banque, ni par l’assureur actuel.

Ne perdez pas de temps, si la banque exige son contrat d’assurance groupe, dès que le prêt sera décaissé en totalité, demandez à CREDIXIA courtier en immobilier de vous trouver mieux et moins cher. C’est simple votre contrat de prêt et votre tableau d’amortissement définitif daté suffiront pour vous faire gagner des euros.